OEuvres complètes de Voltaire avec des remarques et des notes historiques, scientifiques et littéraires ...: Commentaires. 1826Baudouin frères, 1826 |
Autres éditions - Tout afficher
OEuvres complètes de Voltaire avec des remarques et des notes historiques ... Voltaire Affichage du livre entier - 1826 |
OEuvres complètes de Voltaire avec des remarques et des notes historiques ... Voltaire Affichage du livre entier - 1826 |
Expressions et termes fréquents
acte aime Alcippe amant amour Andromède Antiochus assez Athalie barbarisme beau beautés Boileau César chose Cinna Clarice Cléopâtre cœur comédie comique COMMENTAIRES Corneille coup couronne craint crime d'Antiochus d'Héraclius défaut déja remarqué dessein dieux digne discours doit donne édit Égypte enfans épouse eût expression Exupère familier Félix femme fesait fille fils force frère froid GÉRONTE gloire grace haine hémistiche Héraclius heureux homme hymen impropre inceste indigne j'ai j'en jamais juste l'amour l'auteur l'intrigue Léonce Léontine maîtresse Martian mauvais Menteur mort mort de Pompée Néarque obscur Oronte paraît parler parricide Parthe passion Pauline père personne Philiste Phocas phrase pièce poésie poëte Polyeucte Pompée prince princesse prose Ptolémée Pulchérie qu'un Racine raison reine révolte ridicule rien rime Rodogune s'il sang SCÈNE I.
V. secret seigneur Séleucus semble sentimens sentiment serait seul Sévère solécisme sort soupirs spectateur style noble théâtre Timagène tion tragédie tragique trône tyran venger vertu veut dire Voilà yeux
Fréquemment cités
Page 450 - Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin, Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain.
Page 55 - Toute votre félicité, Sujette à l'instabilité, En moins de rien tombe par terre; Et comme elle a l'éclat du verre, Elle en a la fragilité.
Page 18 - Hélas ! Du crime affreux dont la honte me suit, Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit.
Page 196 - Toute une ville entière, avec pompe bâtie, Semble d'un vieux fossé par miracle sortie, Et nous fait présumer, à ses superbes toits, Que tous ses habitants sont des Dieux ou des Rois. Mais changeons de discours. Tu sais combien je t'aime?
Page 373 - Heureux qui, satisfait de son humble fortune, Libre du joug superbe où je suis attaché, Vit dans l'état obscur où les dieux l'ont caché ! ARCAS Et depuis quand, seigneur, tenez-vous ce langage?
Page 492 - Corneille passe pour avoir dédaigné de parler d'amour; il en parle pourtant, et beaucoup, dans toutes ses pièces, sans en excepter une seule. C'était sans doute dans cet ouvrage, qui est moitié tragédie, moitié opéra, qu'il devait traiter cette passion; mais il fallait en parler autrement, et ne point dire qu'un •véritable amant espere jusqu'au bout, etc.
Page 109 - Un clerc, pour quinze sous, sans craindre le holà, Peut aller au parterre attaquer Attila ; Et, si le roi des Huns ne lui charme l'oreille, Traiter de visigoths tous les vers de Corneille.
Page 358 - II vaut mieux mériter le sort le plus étrange. Tombe sur moi le ciel, pourvu que je me venge...
Page 289 - Il est des nœuds secrets, il est des sympathies Dont par le doux rapport les âmes assorties S'attachent l'une à l'autre et se laissent piquer Par ces je ne sais quoi qu'on ne peut expliquer.
Page 488 - Je meurs dans cet espoir, satisfaite et tranquille. Si je n'ai pas vécu la compagne d'Achille, J'espère que du moins un heureux avenir A vos faits immortels joindra mon souvenir; Et qu'un jour mon trépas, source de votre gloire, Ouvrira le récit d'une si belle histoire.