Dictionnaire universel des sciences morale, économique, politique et diplomatique; ou Bibliotheque de l'homme-d'état et du citoyen;Chez les libraires associés, 1781 - 698 pages |
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Dictionnaire universel des sciences morale, économique, politique ..., Volume 18 Affichage du livre entier - 1781 |
Dictionnaire Universel Des Sciences Morale, Économique, Politique Et ... Jean Baptiste Robinet Affichage du livre entier - 1781 |
Dictionnaire universel des sciences morale ..., Volume 18 ;Volumes 703 à 750 Jean-Baptiste-René Robinet Affichage du livre entier - 1781 |
Expressions et termes fréquents
affez affurer ainfi ambaffadeurs Anglois auffi auroit avoient avoit befoin c'eft c'eſt Cadix Carnéade caufe ceffe chofes cimetieres commerce comte d'Eftrades confeil conféquent conferver confidérable confommation connoiffance connoître d'Angleterre denrées dépenfes différens doit Efclaves Efpagnols efpece efprit églifes enfans enfuite eſt Etats Etats-Généraux étoient étoit fage faifoit Falcidie fans favoir fe trouve fecond felon fens fent feroient feroit fervir feul fiecle fignes fimple fociété foient foin foit fomme fource fous foutenir fouvent fouverain fuccès fuivant fujets fuppofe fur-tout général guerre Hollandois hommes ifles Indes jufqu'à jufte juftice l'argent l'efprit l'Eftime l'Espagne l'Etat l'induftrie l'ufage laiffer loix lorfqu'il lorfque Louis XIV maffe maître maniere manufactures marchandifes marchandiſes miniftres n'eft n'étoit nation naturelle néceffaire néceffité négocians négociant non-feulement obferver paffer paffions particulieres penfer perfonne peuple philofophe plufieurs poffede poffible pourroit pouvoit préfent prefque premiere prince provinces Provinces-Unies puiffance puiffe raifon refpect refte richeffes royaume tion ufage vaiffeaux
Fréquemment cités
Page 639 - Catinat, peu considéré à la cour, s'était fait un grand parti dans l'armée sans y prétendre. Un chef de parti est toujours un chef de faction : tels ont été le cardinal de Retz, Henri...
Page 156 - La guerre n'est donc point une relation d'homme à homme, mais une relation d'Etat à Etat, dans laquelle les particuliers ne sont ennemis qu'accidentellement, non point comme hommes, ni même comme citoyens ' , mais comme soldats ; non point comme membres de la patrie . mais comme ses défenseurs.
Page 215 - Le fujet d'un defpote eft, de même que l'efclave, dans un état contre nature. Tout ce qui contribue à y retenir l'homme , eft un attentat contre fa perfonne. Toutes les mains qui l'attachent à la tyrannie d'un feul , font des mains ennemies. Voulez-vous favoir quels font les auteurs & les complices de cette violence 1 Ceux qui l'environnent.
Page 210 - ... du berceau pour les étouffer dans leurs bras, & les immoler avec une fureur mêlée de vengeance & de pitié, pour en priver des maîtres barbares. Cette atrocité, dont toute l'horreur retombe fur les Européens, leur ouvrira peut-être les yeux. Leur fenfibilité fera réveillée par des intérêts mieux raifonnés. Ils connoîtront qu'ils perdent plus qu'ils ne...
Page 676 - ... fâché de leur trouver des vertus. Le sauvage n'a pas un caractère déterminé, parce qu'on n'est pas sauvage par un vice particulier de l'âme. En général, on peut dire qu'il est craintif, timide, méfiant, etc.
Page 501 - Pour ne pas se tromper dans ces compensations, il faut bien distinguer la liberté naturelle qui n'a pour bornes que les forces de l'individu, de la liberté civile qui est limitée par la volonté générale, et la possession qui n'est que l'effet de la force ou le droit du premier occupant, de la propriété qui ne peut être fondée que sur un titre positif.
Page 211 - ... pour toujours de leur patrie. Si le fentiment ne nous trompe pas, des cultivateurs nés dans les ifles même de l'Amérique, refpirant toujours leur premier air, élevés...
Page 215 - En diftribuant toutes les propriétés au gré de leur caprice , elles ont affujetti une infinité d'hommes à la volonté, impérieufe de leurs femblables , au point de les fair.e chanter & danfer pour vivre. Vous avez parmi vous des êtres faits comme vous , qui ont confenti à s'enterrer fous des montagnes pour vous fournir des métaux , du cuivre qui vous empoifonne peut-être : pourquoi...
Page 206 - Hen. fâché qu'un Efclave fût plus honnête que moi. Mais il ya des barbares qui , regardant la pitié comme une foiblefle , fe plaifent à tenir la verge de la tyrannie toujours levée.
Page 539 - Etranger & un citoyen, doivent être terminés par le juge du lieu , & fuivant les loix du lieu. Et comme le différend naît proprement par le refus du défendeur , qui prétend ne point devoir ce qu'on lui demande ; il fuit du même principe , que tout défendeur doit être pourfuivi pardevant fon juge, qui feul a le droit de le condamner & de le contraindre.