Histoire ancienne, Volume 1Didot Freres, 1846 - 4601 pages |
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Expressions et termes fréquents
Afrique alliés Amilcar Annibal armée armes Asdrubal assez Assyriens auteurs avaient ayant Babylone bataille bataille de Cannes bâtit c'était camp CARTH Carthage Carthaginois cavalerie cent combat conquêtes consul côté courage Crésus Ctésias Cyaxare d'Annibal d'autres Déjoce députés dessein Dieu dieux Diod Diodore donner Égypte Égyptiens éléphants empire ennemis envoya Ézéchias faisait fleuve flotte gloire Grecs Herod Hérodote jours Jugurtha l'Afrique l'armée l'Écriture l'Égypte l'ennemi l'histoire laisser lieu Lilybée mains maître Masinissa Mèdes ment mille hommes mort Nabuchodonosor nation Néchao Ninive nombre Numides paix parler passer pays pendant père peuple romain Pline Polybe porter pouvait premier première guerre punique presque prince qu'Annibal règne république reste rois Rollin Rome royaume s'était Sagonte Scipion seconde guerre punique secours sénat sentiments Sésostris seul Sicile siége soldats sorte stades Strab Strabon Syphax talents temple terre thaginois tion Tite-Live troupes trouver vaisseaux victoire καὶ
Fréquemment cités
Page 124 - Il fallait qu'il y eût des emplois et des personnes plus considérables , comme il faut qu'il y ait des yeux dans le corps. Leur éclat ne fait pas mépriser les pieds , ni les parties les plus basses.
Page 76 - Mais quelque effort que fassent les hommes, leur néant paraît partout. Ces pyramides étaient des tombeaux (2) ; encore les rois qui les ont bâties n'ont-ils pas eu le pouvoir d'y être inhumés , et ils n'ont pas joui de leur sépulcre.
Page 432 - Nébucadnetsar avait vu une grande statue, dont la tête était d'or, la poitrine et les bras d'argent, le ventre et les cuisses d'airain, les jambes de fer...
Page 368 - Romains, leur rompaient tantôt la poupe , tantôt le gouvernail , et tantôt les rames ; et , s'ils se trouvaient pressés , ils se retiraient avec une promptitude merveilleuse pour revenir incontinent à la charge. Enfin, les deux armées ayant combattu avec égal avantage jusqu'au soleil couchant, les Carthaginois jugèrent à propos de se retirer, non qu'ils se comptassent vaincus , mais pour recommencer le lendemain.
Page 313 - funestes qu'eurent les quartiers d'hiver passés par « l'armée carthaginoise dans cette ville délicieuse est « bien juste et bien fondé. Quand on examine avec « soin toutes les circonstances de cette histoire, on a « de la peine à se persuader qu'il faille attribuer le « peu de progrès qu'eurent les armes d'Annibal dans a la suite au séjour de Capoue.
Page 117 - Aussitôt qu'un homme était mort, on l'amenait en jugement. L'accusateur public était écouté : s'il prouvait que la conduite du mort eût été mauvaise, on en condamnait la mémoire, et il était privé de la sépulture. Le peuple admirait le pouvoir des lois, qui s'étendait jusqu'après la mort, et chacun touché de l'exemple, craignait de déshonorer sa mémoire et sa famille.
Page 102 - ... magnanime, sincère et éloigné du mensonge, libéral, maître de lui-même, punissant au-dessous du mérite, et récompensant au-dessus. Le pontife parlait ensuite des fautes que les rois pouvaient commettre : mais il supposait toujours qu'ils n'y tombaient que par surprise ou par ignorance, chargeant d'imprécations les ministres qui leur donnaient de. mauvais conseils, et leur déguisaient la vérité. Telle était la manière d'instruire les rois. On croyait que les reproches ne faisaient...
Page 391 - ... mêlé de ruses et de finesses , et son génie fertile en nouvelles ressources au milieu des malheurs les plus désespérés. On dit que dans la marche du triomphe il perdit l'esprit , qu'après la cérémonie il fut mené en prison , et que les...
Page 364 - Mais ayant aperçu une tour qu'on avait abandonnée, qui était hors de la ville fort près des murs, il y envoya un nombre de soldats hardis et déterminés, qui, par le moyen des pontons, passèrent de la tour sur les murs, pénétrèrent dans Mégare, et en brisèrent les portes.
Page 457 - Un jour de fête solennelle, où la prêtresse leur mère devait aller au temple de Junon , ses bœufs tardant trop à venir, ils se mirent eux-mêmes au joug, et traînèrent le char de leur mère jusqu'au temple, pendant plus de deux lieues '. Toutes les mères, ravies en admiration, congratulèrent celle-ci d'avoir mis au monde de tels enfants.