Napoléon: textes choisis et commentésPlon-Nourrit et cie, 1912 - 316 pages |
Expressions et termes fréquents
anglaise armée armes arriva artillerie attaquer Austerlitz Autunois avaient avez bataille de Leuthen bataille des Dunes bataillons Bonaparte braves c'était camp campagne Campagnes d'Égypte capitaine cavalerie cents choses Colmar colonne combat commandant Concordat Correspondance d'Égypte désert Directoire division Égypte Empereur ennemis eût femmes forêt de Soignes Frédéric gauche général en chef gloire gouvernement heures impérial j'ai jamais journée jours l'Angleterre l'armée d'Italie l'armée française l'art l'artillerie l'Autriche l'Empereur l'Empire l'ennemi l'Europe l'histoire l'île d'Elbe l'ordre oblique laisser lettres ligne Mahomet manœuvre marche maréchal Mémorial ment militaire mille hommes ministre n'avait Napo Napoléon nation officiers paix pape passa patrie peuple place politique porte Porto-Ferrajo position Précis des guerres Premier Consul prince Proclamation prussienne quatre religion République reste retraite Reubell Révolution Rhin Richepance rien Rogniat Romains Rome Russie s'était Sainte-Hélène sera seul siège siège de Toulon Siéyès soldats succès Syrie tête tion Toulon trône troupes trouve Turenne Vercingétorix victoire
Fréquemment cités
Page 138 - La défection du duc de Castiglione livra Lyon sans défense à nos ennemis ; l'armée dont je lui avais confié le commandement était, par le nombre de ses bataillons, la bravoure et le patriotisme des troupes qui la composaient, à même de battre le corps d'armée autrichien qui lui était opposé, et d'arriver sur les derrières du flanc gauche de l'armée ennemie qui menaçait Paris.
Page 178 - ... coups contre ma personne. Si je ne voyais que c'est à la patrie qu'ils en veulent, je mettrais à leur merci cette existence contre laquelle ils se montrent si acharnés. Mais dites aussi aux citoyens que, tant que les Français me conserveront les sentiments d'amour dont ils me donnent tant de preuves, cette rage de nos ennemis sera impuissante.
Page 179 - France : puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir voulu réellement qu'à ma personne. Ma vie politique est terminée ; et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II, Empereur des Français. « Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement.
Page 154 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je « me mets sous la protection de ses lois, que je « réclame de Votre Altesse Royale comme du plus « puissant, du plus constant et du plus généreux
Page 28 - Capitole, y placer avec honneur les statues des héros qui le rendirent célèbre, réveiller le peuple romain, engourdi par plusieurs siècles d'esclavage : tel sera le fruit de vos victoires; elles feront époque dans la postérité; vous aurez la gloire immortelle de changer la face de la plus belle partie de V Europe.
Page 26 - Soldats, vous êtes nus, mal nourris; le gouvernement vous doit beaucoup, il ne peut rien vous donner. Votre patience, le courage que vous montrez au milieu de ces rochers, sont admirables; mais ils ne vous procurent aucune gloire; aucun éclat ne rejaillit sur vous. Je veux vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde. De riches provinces, de grandes villes seront en votre pouvoir: vous y trouverez honneur, gloire et richesses. Soldats d'Italie, manqueriez-vous de courage ou de constance?
Page 141 - Ils cherchent à empoisonner ce que le monde admire ; et s'il reste encore des défenseurs de notre gloire , c'est parmi ces mêmes ennemis que nous avons combattus sur le champ de bataille.
Page 32 - N'y at-il donc aucun espoir de nous entendre, et faut-il, pour les intérêts ou les passions d'une nation étrangère aux maux de la guerre , que nous continuions à nous entr'égorger?
Page 140 - Ceux que nous avons vus pendant vingt-cinq ans parcourir toute l'Europe pour nous susciter des ennemis, qui ont passé leur vie à combattre contre nous dans les rangs des armées étrangères, en maudissant notre belle France, prétendraient-ils commander et enchaîner nos aigles, eux qui n'ont jamais pu en soutenir les regards?
Page 162 - Du sein d'une révolution inspirée par l'amour de la patrie éclatèrent tout à coup au milieu de vous des dissensions religieuses, qui devinrent le fléau de vos familles, l'aliment des factions et l'espoir de vos ennemis. Une politique insensée tenta de les étouffer sous les débris des autels, sous les ruines de la religion même. A sa voix cessèrent...