| Paul-Louis Courier - 1828 - 514 pages
...armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups...A En quelle peine je me trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un... | |
| 1828 - 688 pages
..., contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups.... En quelle peine je mu trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un... | |
| Paul-Louis Courier - 1830 - 478 pages
...armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je rne trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. \u bout d'un... | |
| Paul-Louis Courier - 1834 - 454 pages
...armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. Au bout d'un... | |
| Paul-Louis Courier - 1834 - 428 pages
...m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais,...vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure qui fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et par les fentes de la porte, je vis le père, sa lampe dans une... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais ; m'échapper...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups.... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. Au bout d'un... | |
| Guyet de Fernex - 1843 - 576 pages
...mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne te pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un... | |
| Ghewond Hovnanean - 1844 - 472 pages
...armes, contre eux dou/.e ou quinze qui en avaient tant! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais ; m'échapper...n'était guère haute , mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais; imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant. Et n:on camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. Au bout d'un... | |
| Edouard Salvador - 1845 - 320 pages
...tant! et mon camarade mort de sommeil et » de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'o» sais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la » fenêtre...n'était guère haute , mais en bas » deux gros dogues hurlant comme des loups... » En quelle peine je me trouvais, imaginez» le, si vous pouvez. Aubout... | |
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