Études sur l'ancien théâtre espagnol: Les trois Cid (Guillen de Castro, Corneille, Diamante); Hormis le roi, personne. Ce que soit les femmes. Fragments de la CelestinaF. Didot frères, fils et cie, 1873 - 433 pages |
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Études sur l'ancien théâtre espagnol: Les trois Cid (Guillen de Castro ... Antoine Laurent Apollinaire Fée Affichage du livre entier - 1873 |
Etudes sur l'ancien théatre Espagnol: les trois cid (Guillen de Castro ... Antoine Laurent Apollinaire Fée Affichage du livre entier - 1873 |
Expressions et termes fréquents
Adieu aime Alfonse Allons amant amour arquebuse avez beauté BELARDO belle BRAS Calderon CALISTO Castañar cavalier cher CHIMÈNE chose ciel cœur COMTE Corneille Acte courage cruel d'Orgaz DELANTERO Diamante dire dois DON DIÈGUE DON GARCIA DON GONZALO DON MARCOS DON MENDO DON PABLO DON PEDRO DON ROQUE DON SANCHE DONA BLANCA DOÑA MATEA douce douleur Écoute ELVIRE épée époux Est-ce êtes femme fille Francisco de Rojas GIBAJA Guillen de Castro homme honneur j'ai jalousie l'amour l'honneur L'INFANTE laisse larmes Lope de Vega LUCRÈCE m'aime main maison malheur MÉLIBÉE ment mérite meure mille mort mourir MUSICIENS nuit NUÑEZ offense parler paroles PERANZULES père personne pièce plaisir PLEBERIO pleure poëte Qu'y a-t-il RAFAELA REINE rien RODRIGUE sache sais sang saurait scène seigneur señora sera SERAFINA seul sœur sois soleil sort Sosie souffrir t'ai t'aime Tello TERESA Tolède trouve URRACA vais vengeance venger veux veux-tu viens Vive Dieu voilà vois yeux
Fréquemment cités
Page 50 - Sire, mon père est mort : mes yeux ont vu son sang Couler à gros bouillons de son généreux flanc; Ce sang qui tant de fois garantit vos murailles, Ce sang qui tant de fois vous gagna des batailles, Ce sang qui tout sorti fume encor de courroux...
Page 42 - Je suis jeune, il est vrai, mais aux âmes bien nées La valeur n'attend pas le nombre des années...
Page 68 - Je ne te puis blâmer d'avoir fui l'infamie ; Et, de quelque façon qu'éclatent mes douleurs, **** Je ne t'accuse point, je pleure mes malheurs. Je sais ce que l'honneur, après un tel outrage, Demandoit à l'ardeur d'un généreux courage : ***** Tu n'as fait le devoir que d'un homme de bien; Mais aussi , le faisant , tu m'as appris le mien.
Page 11 - Et sort d'une maison si féconde en guerriers, Qu'ils y prennent naissance au milieu des lauriers.
Page 111 - L'insolent en eût perdu la vie; Mais mon âge a trompé ma généreuse envie Et ce fer que mon bras ne peut plus soutenir, Je le remets au tien pour venger et punir. Va contre un arrogant éprouver ton courage : Ce n'est que dans le sang qu'on lave un tel outrage, Meurs ou tue.
Page 23 - LE COMTE. Enfin vous l'emportez, et la faveur du roi Vous élève en un rang qui n'était dû qu'à, moi ' ; II vous fait gouverneur du prince de Castille.
Page 23 - Pour grands que soient les rois, ils sont ce que nous sommes . IIs peuvent se tromper comme les autres hommes ; Et ce choix sert de preuve à tous les courtisans Qu'ils savent mal payer les services présents.
Page 69 - Malgré des feux si beaux qui troublent ma colère, Je ferai mon possible à bien venger mon père; Mais malgré la rigueur d'un si cruel devoir, Mon unique souhait est de ne rien pouvoir.
Page 110 - Comte, sois de mon prince à présent gouverneur; Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur, Et ton jaloux orgueil, par cet affront insigne, Malgré le choix du roi, m'en a su rendre indigne. Et toi, de mes exploits glorieux instrument, Mais d'un corps tout de glace inutile ornement, Fer jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense...
Page 114 - RODRIGUE. Parlons bas; écoute. Sais-tu que ce vieillard fut la même vertu , La vaillance et l'honneur de son temps ? le sais-tu ? LE COMTE. Peut-être. D. RODRIGUE. Cette ardeur que dans les yeux je porte , Sais-tu que c'est son sang ? le sais-tu ? LE COMTE.