L'histoire de France depuis les temps les plus reculés jusqu'en 1789 racontée à mes petits-enfants, Volume 1Hachette, 1872 |
Table des matières
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L'histoire de France depuis les temps les plus reculès jusqu'en 1789, Volume 1 François Guizot Affichage du livre entier - 1873 |
L'histoire de France depuis les temps les plus reculés jusqu'en ..., Volume 1 François Guizot Affichage du livre entier - 1879 |
L'histoire de France depuis les temps les plus reculés jusqu'en 1789, Volume 1 François Guizot Affichage du livre entier - 1873 |
Expressions et termes fréquents
Arabes armée avaient avant J. C. barbares barons bataille bientôt Bohémond Boniface Boniface VIII c'était camp César Charlemagne Charles Martel chefs chevaliers Chilpéric chrétiens chroniqueur Clotaire Clotilde Clovis comte de Flandre comte de Toulouse conquête croisade croisés d'Angleterre d'Aquitaine dessein devant Dieu dit-il Édouard empereur enfants ennemis envoya États Eudes évêques femme féodale fils Flandre frère Gaule Gaulois Germains Godefroi Godefroi de Bouillon Gondebaud gouvernement guerre Guillaume Harold hommes Hugues Hugues Capet Jérusalem jour Kymris l'an l'armée l'Église l'empereur l'empire l'évêque l'histoire l'un Lothaire lui-même lutte mains Marc Aurèle ment morale mort musulmans n'était nation non-seulement Normandie paix pape passa passion Pepin père peuple Philippe Auguste Philippe le Bel politique populations porter pouvoir premier presque princes prit race règne reine reste Rhin Richard Robert rois Rollon romain Rome royale royaume s'était saint Louis Saxons seigneur seul siècle sorte souverains succès tantôt terre tion vassaux Vercingétorix victoire
Fréquemment cités
Page 228 - Lorsque les seigneurs laïques et ecclésiastiques étaient ainsi séparés de la multitude, il demeurait en leur pouvoir de siéger ensemble ou séparément, selon la nature des affaires qu'ils avaient à traiter, ecclésiastiques, séculières ou mixtes.
Page 211 - Tous ceux qui précédaient le monarque, tous ceux qui marchaient à ses côtés, tous ceux qui le suivaient, tout le gros même de l'armée, avaient des armures semblables, autant que les moyens de chacun le permettaient. Le fer couvrait les champs et les grands chemins ; les pointes du fer réfléchissaient les rayons du soleil. Ce fer si dur était porté par un peuple d'un cœur plus dur encore. L'éclat du fer répandit la terreur dans les rues de la cité. — Que de fer ! hélas ! que de fer...
Page 519 - Seigneurs, je suis certain que les devanciers du roi d'Angleterre ont perdu tout à fait justement la conquête que je tiens; et la terre que je lui donne, je ne la donne pas comme chose dont je sois tenu à lui ou à ses héritiers, mais pour mettre amour entre mes enfants et les siens, qui sont cousins germains. Et il me semble que ce que je lui donne je l'emploie bien, parce qu'il n'était pas mon homme et qu'il entre par là en mon hommage.
Page 314 - ... ou aventure ils n'éviteraient point les mauvais et périlleux passages, ni ne se détourneraient du droit chemin, de peur de rencontrer des chevaliers puissants, ou des monstres, bêtes sauvages ou autre empêchement que le corps et le courage d'un seul homme peut mener à chef; 17°...
Page 528 - Vraiment, fit-il, ce fut mal dit; car vous ne devez pas avoir en dédain ce que Dieu fit pour notre enseignement. Je vous prie donc, pour l'amour de Dieu d'abord, et pour l'amour de moi, que vous vous accoutumiez à les laver.
Page 235 - Germanie l'étude des lettres sacrées et des lettres profanes. « Ah ! disait-il un jour, si j'avais seulement autour de moi douze clercs instruits dans toutes les sciences , comme l'étaient Jérôme et Augustin...
Page 133 - Personne n'a des armes aussi mal tenues que les tiennes, car ni ta lance, ni ton épée, ni ta hache, ne sont en bon état; » et lui arrachant sa hache il la jeta à terre.
Page 217 - Roland (2) , préfet des Marches de Bretagne, périrent dans ce combat. Il n'y eut pas moyen dans le moment de tirer vengeance de cet échec , car, après ce coup de main , l'ennemi se dispersa si bien , qu'on ne put recueillir aucun renseignement sur les lieux où il aurait fallu le chercher.
Page 279 - C'était une confédération de petits souverains , de petits despotes , inégaux entre eux et ayant , les uns envers les autres , des devoirs et des droits , mais investis dans leurs propres domaines , sur leurs sujets personnels et directs , d'un pouvoir arbitraire et absolu.
Page 217 - Francs, engagée dans un étroit défilé, était obligée par la nature du terrain de marcher sur une ligne longue et resserrée, les Gascons qui s'étaient embusqués sur la crête de la montagne (car l'épaisseur des forêts dont ces lieux sont couverts favorise les embuscades) descendent et se précipitent tout à coup sur la queue des bagages, et sur les troupes d'arrière-garde chargées de couvrir tout ce qui précédait, et les culbutent au fond de la vallée.