Mémorial de Sainte-Hélène, Volume 3 |
Expressions et termes fréquents
Alvinzi Anghiari anglais Arcole armée arrivé attaqué Augereau autrichienne avaient bataille Bataille de Castiglione bataille de Lonato Brescia c'était Caldiero calèche Castiglione cause chambre chose continuait-il conversation d'Alvinzi d'Arcole d'Elbe Decrès demandé demeuré devait dîner disait l'Empereur disait-il division doute ennemis étions eussent eût événemens force Fouché fût Gavardo général en chef Gouverneur Grand-Maréchal heures j'ai j'avais j'étais j'eusse jamais Joséphine Joubert jour journée l'Adige l'Alpon l'Amiral l'armée française l'Em l'Empe L'Empereur m'a l'ennemi l'Europe l'île l'Italie lac de Guarda laisser Legnago Lonato long-temps Longwood m'en Mantoue marche Masséna ment mille hommes Mincio Montebaldo Moreau n'avait n'était Napoléon observait-il passé pereur Peschiera peuples peut-être Pichegru plateau de Rivoli politique pouvait Premier Consul prisonniers Provera rait reste reur rien Russie s'est s'était Sainte-Hélène sentimens sentiment serait seul siége de Mantoue Sire soldats sorte tion tout-à-fait Toutefois troupes trouvé Tyrol vait Vaubois Vérone voulait vrai Wurmser
Fréquemment cités
Page 70 - En foi de quoi les plénipotentiaires ont signé la présente convention , et y ont apposé le sceau de leurs armes. Fait à Paris, le 30 novembre 1831.
Page 319 - Quelque bizarre, quelque insupportable que fût Louis, il l'aimait; et, en pareil cas, avec d'aussi grands intérêts, toute femme doit toujours être maîtresse de se vaincre, avoir l'adresse d'aimer à son tour. Si elle eût su se contraindre, elle se serait épargné le chagrin de ses derniers procès ; elle eût eu une vie plus heureuse ; elle eût suivi son mari en Hollande, et y serait demeurée.
Page 69 - Prusse ont agréé, en vertu des stipulations du traité du 25 Mars 1815, sur les mesures les plus propres à rendre impossible toute entreprise de sa part contre le repos de l'Europe.
Page 182 - Vaubois avait été battu le jour encore par Davidowich, il serait obligé de se porter, la nuit prochaine, à son secours et à celui de Mantoue. Dès lors Alvinzi se porterait sur Vérone, il recueillerait l'honneur et les résultats de la victoire; tant d'avantages remportés dans trois journées seraient perdus. Il fit compter soigneusement le nombre des prisonniers, récapitula les pertes de l'ennemi; il...
Page 254 - Elle accepte un mari d'un âge disproportionné, dont l'imagination, les goûts, les habitudes ne s'accordent pas avec les siens ; la loi doit donc lui ménager une ressource pour le moment où, l'illusion cessant, elle reconnaît qu'elle se trouve dans des liens mal assortis, et que sa volonté a été séduite.
Page 256 - défendu à une femme, profondément convain» eue de l'innocence de son mari , de suivre , » dans sa déportation , l'homme auquel elle est » le plus étroitement unie ; ou si elle cédait à » sa conviction, à son devoir, elle ne serait » plus qu'une concubine! Pourquoi ôter à ces » infortunés le droit de vivre l'un auprès de » l'autre , sous le titre honorable d'époux le'gi
Page 168 - Brenta, s'étaient vues en retraite sur Vérone, ayant manqué leur opération sur Caldiero. Le sentiment des forces de l'ennemi était dans toutes les têtes. Les soldats de Vaubois, pour justifier leur retraite dans le Tyrol, disaient s'y être battus un contre trois. Les soldats mêmes demeurés sous les yeux de Napoléon, trouvaient les ennemis trop nombreux.
Page 38 - France : voilà le trépied d'où jaillira la lumière du monde! Elles le régiront, elles seront la foi, la religion , la morale de tous les peuples : et cette ère mémorable se rattachera, quoi qu'on ait voulu dire, à ma personne, parce qu'après tout, j'en ai fait briller le flambeau , consacré les principes , et qu'aujourd'hui la persécution achève de m'en rendre le MESSIE.
Page 154 - Le plan du général autrichien, qui pouvait réussir dans d'autres circonstances, ou contre un autre homme que son adversaire, devait avoir...
Page 72 - Enfin une dernière chance , et ce pourrait être la plus probable , ce serait le besoin qu'on aurait de moi contre* les Russes ; car , dans l'état actuel des choses, avant dix ans toute l'Europe peut être cosaque ou toute en république.