| Jean de La Bruyère - 1790 - 410 pages
...Les partisans nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre. L'on commence par le mépris à cause de leur obscurité. On les envie ensuite...hait , on les craint , on les estime quelquefois , et on les respecte. L'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion. Sosie (i) de la livrée... | |
| Jean de La Bruyère - 1808 - 290 pages
...Les partisans nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre. L'on commence par le mépris à cause de leur obscurité. On les envie ensuite,...hait, on les craint; on les estime quelquefois , et on les respecte. L'on vit asse/. pour finir à leur égard par la compassion. Sosie 1 de la livrée... | |
| Jean de La Bruyère - 1819 - 304 pages
...Les partisans nous fontsentir toutes les passions l'une après l'autre. L'on commence par le mépris à cause de leur obscurité. On les envie ensuite,...hait, on les craint; on les estime quelquefois, et on les respecte. L'on vit assez pour unir à leor égard par la compassion. Sosie1 de la livrée a... | |
| Jean de La Bruyère - 1820 - 454 pages
...Les partisans nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre. L'on commence par le mépris à cause de leur obscurité On les envie ensuite,...hait , on les craint ; on les estime quelquefois , et on les respecte. L'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion. Sosie (6) de la livrée... | |
| Jean de La Bruyère - 1823 - 326 pages
...Les PTS ' nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre. L'on commence par le mépris , à cause de leur obscurité. On les envie ensuite...hait , on les craint ; on les estime quelquefois, et on les respecte. L'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion. Sosie , de la livrée... | |
| François Noel, L. J. M. Carpentier - 1827 - 890 pages
...l'autre. L'en commence par les mépriser à cause de Jeur obscurité, on les envie ensuite; on les liait, on les craint, on les estime quelquefois, et l'on...assez pour finir, à leur égard , par la compassion. » PARïURATEliR. Cet instrument de chirurgie , servant aux accouchements, a été inventé par M.... | |
| Jean de La Bruyère - 1829 - 818 pages
...La Bruyère a jugé à propos de désigner ici l'une après l'autre. L'on commence par le mépris, à cause de leur obscurité. On les envie ensuite,...hait, on les craint ; on les estime quelquefois, et on les respecte. L'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion. Sosie de la livrée a... | |
| Jean de La Bruyère - 1829 - 344 pages
...conscience pour les avoir: cela est trop cher; et il n'y a rien à gagner à un tel marché. DBS JBISHS n IL ensuite, on les hait, on les craint; on les estime quelquefois, et on les respecte. L'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion. Sosie de la livrée a... | |
| François-Joseph-Michel Noël - 1834 - 468 pages
...que La Bruyère n'osait désigner ces PAR PAS gens-là que mystérieusement sous les lettresP. TS « Les PTS nous font sentir, disait cet écrivain, toutes...quelquefois , et l'on vit assez pour finir, à leur égard , parla compassion. » PARTURATEUR. Cet instrument de chirurgie, servant auxaccouchemens, a été inventé... | |
| François Joseph Michel Noël, L. J. M. Carpentier - 1834 - 494 pages
...Bruyère n'osait désigner ces gens-là que mystérieusement sous les lettres PTS « Les P. 7'. 5. nous font sentir , disait cet écrivain, toutes les...ensuite ; on les hait , on les craint , on les estime quel* quefois , et l'on vit assez pour finir, à leur égard , parla compassion. » PARTURATEUR. Cet... | |
| |