Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie, pour conserver l'État de la Grèce,... Oeuvres complètes de Rollin - Page 373de Charles Rollin - 1821Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Nicolas Antoine Boulanger - 1794 - 460 pages
...s'affectionnoient d'autant plus à leur pays, qu'ils le gouvernoiem en commun , et que chaque particulier pouvoit parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie...de la Grèce n'est pas croyable : plus ces peuples étoient libres , plus il étoit nécessaire d'y établir par de bonnes maximes , les regles des mœurs... | |
| A. H. Boullanger - 1794 - 432 pages
...s'affectionnoient d'autant plus à leur pays, qu'ils le gouvernoient en commun, et que chaque particulier pouvoit parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie...de la Grèce n'est pas croyable : plus ces peuples étoient libres , plus il étoit nécessaire d'y établir par de bonnes maximes , les regles des mœurs... | |
| Jacques Bénigne Bossuet (évêque) - 1803 - 288 pages
...s'affectionnoient d'autant plus à leur pays qu'ils le conduisoient en commun , et que chaque.particulier pouvoit parvenir ,aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la Grece n'est pas croyable. Plu-» cos peuples étoientl libres, plus il étoit nécessaire d'y établir... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1805 - 470 pages
...s'affectionnoient d'autant plus à leur pays qu'ils le conduisoient ej^ commun, et que chaque particulier pouvoit parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie...de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étoient libres , plus il étoit nécessaire d'y établir, par de bonnes raisons , les règles des... | |
| Jacques Bénigne Bossuet (bp. of Meaux.) - 1805 - 780 pages
...d'autant plus à leur pays , qu'ils le conduisoient en commun , et que cha~ que particulier pouvoit parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie...de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étoient libres , plus il étoit nécessaire d'y établir , par de bonnes raisons , les règles des... | |
| Charles Rollin - 1817 - 656 pages
...s'affectionnoient d'autant plus à leur »ys , qu'ils se conduisoient en commun , et que chaque iarticulier pouvoit parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la &rèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étoient libres , plus il étoit nécessaire d'y établir... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1818 - 598 pages
...s'affectionnoient d'autant plus à leur pays , qu'ils le conduisoient en commun, et que chaque particulier pouvoit parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie,...de la Grèce, n'est pas croyable. Plus' ces peuples étoient libres, plus il étoit nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs,... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1823 - 434 pages
...s'affectionnoient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisoient en commun, et que chaque particulier pouvoit parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie,...de la Grèce, n'est pas croyable. Plus ces peuples étoient libres, plus il étoit nécessaire d'y établir par de bonnes raison» les règles des mœurs,... | |
| Bernard-Germain-Etienne de La Ville sur Illon de Lacépède - 1830 - 336 pages
...mau« vaise administration Les citoyens s'af« fectionnaient d'autant plus à leur pays, « qu'ils le conduisaient en commun, et que « chaque particulier...Plus « ces peuples étaient libres, plus il était né« cessaire d'y établir, par de bonnes raisons, « les règles des mœurs et celles de la société....... | |
| Pierre François Merlet - 1833 - 624 pages
...Grèce tirait du sien, était que les citovens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. Pourquoi parler des philosophes ? Les poètes même qui étaient dans les mains de tout le peuple,... | |
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