Romanische Forschungen, Volume 29Vittorio Klostermann, 1911 |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aidier ainssi Aiol Alemant Alexander Alfred de Vigny Altfrz Archillant aultres autem avoir avoit Aymery Bédier beiden bien Breton Bruder c'est ceulx Ceus qui ont chansons chansons de geste chascum chevaliers Clargis corps cors cuer cueur damoyselle Desramé Deutschen devant Dichter Dieu dist enffans Episode Erec ersten Erzählung esté estoient estoit estre eulx eust faire fait Fehlt Mp fignes fist folgenden France Franz Franzosen Frau funt Godefroi grant grosse Guillaume Helden hommes Isolde Jahrh jour Kaiser Karl König l'istoire lateinischen lich main mais Menschen Mirakel mort moult mout myeulx Nerbonne Orable Paris parler Pessimismus Physiognomik qu'il quae quant quieulx quod Râmîn Reim respondi rien Romanische Forschungen XXIX roy Thibault s'en Sarazenen Sarrasins sire Stelle tout Tristan Tristan und Isolde trop Trouvères unserer Ur-Tristan veoir Version Vianne Vigny vint Wallensköld Wilhelm Wîs Ysaac
Fréquemment cités
Page 130 - Worten: <Was hülfe es dem Menschen, so er die ganze Welt gewönne, und nähme doch Schaden an seiner Seele?
Page 383 - tis too horrible ! The weariest and most loathed worldly life, ^ That age, ache, penury, and imprisonment Can lay on nature, is a paradise To what we fear of death.
Page 371 - Dieu seul et le poëte savent comment naît et se forme la pensée. Les hommes ne peuvent ouvrir ce fruit divin et y chercher l'amande. Quand ils veulent le faire, ils la retaillent et la gâtent.
Page 445 - Paris ! principe et fin ! Paris ! ombre et flambeau ! — Je ne sais si c'est mal, tout cela ; mais c'est beau ! Mais c'est grand ! mais on sent jusqu'au fond de son âme Qu'un monde tout nouveau se forge à cette flamme...
Page 417 - Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs. Je roule avec dédain sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre J'ignore en les portant le nom des nations. On me dit une mère et je suis une tombe, Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations.
Page 451 - C'est la Loi qui sur vous s'avance en vous pressant. La Loi d'Europe est lourde, impassible et robuste, Mais son cercle est divin, car au centre est le Juste.
Page 437 - S'il est vrai qu'au Jardin sacre des ficritures, Le Fils de 1'homme ait dit ce qu'on voit rapporte; Muet, aveugle et sourd au cri des creatures, Si le Ciel nous laissa comme un monde avorte, Le juste opposera le dedain a 1'absence Et ne repondra plus que par un froid silence Au silence eternel de la Divinite.
Page 417 - Mon printemps ne sent pas vos adorations. Avant vous, j'étais belle et toujours parfumée, J'abandonnais au vent mes cheveux tout entiers : Je suivais dans les cieux ma route accoutumée, Sur l'axe harmonieux des divins balanciers, Après vous, traversant l'espace où tout s'élance, J'irai seule et sereine, en un chaste silence Je fendrai l'air du front et de mes seins altiers.
Page 423 - II lit dans les astres la route que nous montre le doigt du Seigneur *. LORD TALBOT : Qu'en dites-vous, milord ? lui donnez-vous tort ? Le pilote 40 n'est pas inutile 5.
Page 432 - La distance et le temps sont vaincus. La science Trace autour de la terre un chemin triste et droit.