Histoire de France depuis l'établissement de la monarchie jusqu'au règne de Louis XIV, Volume 26chez Desaint et Saillant, 1783 |
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Histoire de France Depuis L'Etablissement De La Monarchie Jusqu'au Regne De ... Paul François Velly Affichage du livre entier - 1778 |
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Expressions et termes fréquents
affez Anglois armée aſſemblée auroient auroit auſſi avoient avoit beſoin C'eſt cardinal cardinal de Lorraine cauſe cens cens mille choſe concile concile de Trente confidérable connétable conſeil défenſe déja derniere devoit Dragut ennemis enſuite entrepriſe eſt Etats étoient étoit évêques faifoit falloit fans Ferdinand de Gonzague feroit fiége foit foldats François Françoiſe frontiere garniſon guerre Guiſe Henri hommes Jarnac juſqu'à l'armée l'égliſe l'em l'empereur l'eſprit laiſſa laiſſant laiſſer landgrave Lorraine lorſqu'il lorſque magiftrats maiſon maniere maréchal Maurice ment Metz mille livres miniſtres Montmorenci n'avoit occafion officiers paffer pape paſſer Pays-Bas pereur perſonne Piémont Plaiſance pluſieurs pouvoient pouvoit premiere préſident preſque princes puiſqu'il puiſque puiſſance réponſe réſiſtance reſte royaume s'étoient s'étoit ſans ſe rendre ſe trouva ſe trouvoit ſecours ſeigneur ſervice ſervir ſes ſujets ſes troupes ſeul ſeulement ſoin ſoit ſomme ſon ſon fils ſous ſouverain ſuccès ſur tion venoit vouloit
Fréquemment cités
Page 36 - Les femmes qui s'étoient réfugiées dans les , églifes furent violées jufques fur les marches des autels : on enferma les plus vieilles dans une grange pleine de paille & on y mit le feu. Elles voulurent fe précipiter par une fenêtre , mais les barbares qui s'amufoient de leurs cris & de leur embarras le? .répondaient à coups de piques jufqu'àce qu'elles fuffent dévorées parles flammes. Plufieurs feigneurs qui avoient des Vau- ANN> IH...
Page 33 - Tributiis, et l'avocat-général Guérin. Partageant avec eux le commandement de ses nouvelles milices , il alla, sans perdre de temps, se joindre à la troupe du baron de la Garde. En voyant ces troupes s'avancer du côté de leurs habitations, les Vaudois s'aperçurent enfin que leur perte était résolue. On put connaître alors la fausseté et la noirceur des bruits que l'on avait affecté de répandre sur leurs préparatifs de guerre : pas un ne songea à se mettre en défense : des cris aigus...
Page 30 - ... foit d'équité naturelle, foit de droit pofitif qui étoient favorables à fa caufe , qu'il acquit dès-lors de la célébrité , & jetta les fondemens de fon élévation.
Page 253 - On prit occafion d'une fluxion qui étoit tombée fur les yeux du chancelier , & qui l'avoit forcé de fufpendre pendant quelques jours les expéditions , pour lui demander la démiffion de fa place , moyennant une récompenfe telle qu'il voudroit l'exiger.
Page 167 - Le tribunal ordonna que l'hôtel de ville serait rasé, et qu'à sa place serait élevée une chapelle, où l'on célébrerait tous les jours l'office des morts pour le repos de l'âme de Tristan de Moneins. En exécution d'un autre article de l'arrêt, les jurats et cent vingt notables allèrent en habit de deuil déterrer avec leurs ongles le corps de Moneins dans l'église des Carmes...
Page 16 - I iavoit tire de la ville de Boulogne , dont il étoit gouverneur , pour lui confier les opérations du camp de la Durance, & que le dauphin Henri , qui faifoit alors fes premières armes , avoit voulu recevoir de fa main l'ordre- de chevalerie.
Page 29 - Comme les remèdes humains paroiflbient infuffifans contre ce fléau , on eut recours aux furnaturels ; le grand- vicaire fut chargé de les excommunier. Pour rendre cette excommunication valide , on' crut devoir fuivre toutes les formalités de l'ordre judiciaire. Sur la plainte rendue par le promoteur , les rats furent...
Page 30 - Lorfqu'il fut expiré fans que les parties enflent comparu, il entreprit de les excufer lur la longueur & les incommodités du voyage , fur le danger évident de mort auquel ils étoient expofés de la part des chats leurs ennemis jurés qui les guettoient à tous les...
Page 254 - peine qu'un autre , plus heureux » peut-être , mais non plus zélé
Page 420 - ... périlleux , qu'on augura dès lors qu'il deviendrait un illustre guerrier. Le soin qu'il prenait de s'attacher, par des bienfaits , les hommes chez lesquels il remarquait des talents; sa libéralité envers les soldats, son affabilité avec les officiers; un port majestueux , un front toujours serein et plus ennobli que défiguré par la cicatrice d'un coup de lance qui lui avait percé la tête, en 1545, au siège de Boulogne , où il combattit presque seul un bataillon anglais : tant d'avantages...