L'air est d'une pureté sans égale , mais le ciel est sombre ; le soleil laisse à peine entrevoir, vers midi, quelques rayons fugitifs. Le jour commence à neuf heures , et finit à trois ; un nuage épais pèse sur la terre comme une masse de plomb,... Revue de Paris - Page 184publié par - 1838Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Xavier Marmier - 1857 - 500 pages
...à peine entrevoir, vers midi, quelques rayons fugitifs. Le jour commence à neuf heures , et finit à trois ; un nuage épais pèse sur la terre comme...plus que le silence du sommeil, c'est le silence de là mort. Il est une impression mélancolique profonde, que plus d'un voyageur a dû éprouver en traversant... | |
| 1841 - 398 pages
...laisse à peine entrevoir vers midi quelques rayons fugitifs. Le jour commence à neuf heures et finit à trois ; un nuage épais pèse sur la terre comme...apercevoir une trace d'habitation , et quand le vent so tait , tout se tait dans la nature. Pas une source d'eau ne murmure , pas un oiseau ne chante ,... | |
| |