| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - 742 pages
...d'éclairs m'éblouissent; -je cherche une lumiere douce qui soulage mes foibles yeux. Je demande un poete aimable , proportionné au commun des hommes, qui...simple , que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il l'auroit trouvé sans peine, quoique peu d'hommes soient capables de le trouver. Je préfere l'aimable... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - 806 pages
...métaphysique, alambiqué, et se déclare même contre l'excès d'esprit. « Je veux (c'est lui qui parle), je veux un sublime « si familier, si doux et si simple,...que chacun soit « d'abord tenté de croire qu'il l'auroit trouvé sans « peme, quoique peu d'hommes soient capables de * le trouver : je préfere l'aimable... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - 706 pages
...d'éclairs m'éblouissent; je cherche une lumiere douce qui soulage mes foibles yeux. Je demande un poëte aimable, proportionné au commun des hommes, qui fasse tout pour eux, et rien pour lui. le veux un sublime si familier, si doux et si simple , que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 444 pages
...étude. Tant d'éclairs m'éblouissent ; je cherche une lumière douce qui soulage mes foibles yeux. Je demande un poète aimable, proportionné au commun...simple , que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il l'auroit trouvé sans peine , quoique peu d'hommes soient capables de le trouver. Je préfère l'aimable... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 474 pages
...cherche une lumière douce qui soulage mes faibles yeux. Je demande un poete aimable, proportionnô au commun des hommes, qui fasse tout pour eux , et rien pour lui. Je veu\ un sublime si familier, si doux et si simple , que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1822 - 340 pages
...metaphysiquc , alambiqué ,- et se déclare même contre l'excès d'esprit. » Je veux (c'est lui qui parle), je veux un » sublime si familier , si doux et si..., que »chacun soit d'abord tenté de croire qu'il »l'auroit trouvé sans peine , quoique peu »d'hommes soient Capables de le trouver : je »préfère... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1825 - 466 pages
...étude. Tant d'éclairs m'éblouissent ; je cherche une lumière douce, qui soulage mes foibles yeux. Je demande un poète aimable, proportionné au commun...simple, que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il l'auroit trouvé sans peine, quoique peu d'hommes soient capables de le trouver. Je préfère l'aimable... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1835 - 774 pages
...étude. Tant d'éclairs m'éblouissent ; je cherche une lumière douce qui soulage mes foibles yeux. Je demande un poète aimable , proportionné au commun...simple, que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il l'auroit trouvé sans peine, quoique peu d'hommes soient capables de le trouver. Je préfère l'aimable... | |
| Arnould Frémy - 1843 - 238 pages
...langage de Fénelon et de son siècle n'est-il pas contenu dans ce passage, d'une si parfaite beauté? « Je demande un poète aimable, proportionné au commun...simple, que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il l'auroit trouvé sans peine, quoique peu d'hommes soient capables de le trouver. Je préfère l'aimable... | |
| Arnould Frémy - 1843 - 240 pages
...passage, d'une si parfaite beauté? « Je demande un poète aimable, proportionné au commun des bommes, qui fasse tout pour eux et rien pour lui. Je veux...simple, que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il l'auroit trouvé sans peine, quoique peu d'hommes soient capables de le trouver. Je préfère l'aimable... | |
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