Cornelius Nepos, Quinte-Curce, Justin, Valère Maxime, Julius Obsequens: Œuvres complètes, Volume 13

Couverture
 

Table des matières

563
609
mains
704
Ibid
719
614
855

Autres éditions - Tout afficher

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 268 - Quolibet hoste , paras... , de l'autre côté, comme le Scythe à Alexandre : « Qu'avons-nous à démêler avec toi? Jamais nous » n'avons mis le pied dans ton pays. N'est-il pas » permis à ceux qui vivent dans les bois , d'ignorer » qui tu es , et d'où tu viens...
Page 367 - On avait choisi les plus forts et les plus hauts. « Chacun d'eux avait sur la tête une couronne dorée , des sonnettes d'or » aux deux côtés de la mâchoire , et autour du cou des colliers chargés
Page 86 - Ceux qui savent ce que coûtent les belles choses , et qu'on ne peut donner trop de temps aux productions parfaites , ne s'étonneront point que M. de Vaugelas y ait travaillé plus de trente ans. Il n'ya point d'homme d'esprit qui ne crût avoir bien employé sa vie , quelque longue qu'elle pût être, à un ouvrage si accompli : aussi faut-il confesser que c'est avoir assez fait en toute sa vie, que d'avoir fait une chose par qui l'on devient immortel.
Page 385 - Prexaspès, lorsque son épée, sortie par hasard du fourreau , lui fit à la cuisse une blessure dont il mourut, et qui fut le châtiment mérité et du parricide qu'il avait ordonné , et du sacrilège qu'il avait accompli.
Page 208 - C'étaient environ huit cents Grecs*, prisonniers de guerre, déja fort âgés, sur qui les Perses avaient exercé leur cruauté par diverses sortes de supplices. Aux uns ils avaient coupé les mains, aux autres les pieds, aux autres le nez et les oreilles; puis, leur ayant imprimé sur le visage, avec le feu, des caractères barbares , ils les avaient gardés pour un objet de risée , dont ils repaissaient leurs yeux et leur cruauté. Ils ressemblaient plutôt à des fantômes qu'à des hommes,...
Page 359 - Éphestion. Il doit en être de même de l'emblème de l'aigle; les usages et les monumens romains nous enseignent ici sa signification : l'aigle était l'oiseau de la consécration. C'est sur un aigle que sont portés les empereurs déifiés. On sait que, dans la cérémonie de l'apothéose , on faisait partir du haut du bûcher un aigle, qui était censé porter au ciel l'âme du prince. Ne devons-nous pas admettre que ces emblèmes furent chez les Romains...
Page 360 - La partie supérieure ( ou la plate-forme du haut ) était rem« plie par les trophées des armes des Macédoniens et de celles des « barbares , mais disposés de façon à désigner la bravoure des uns « et la défaite des autres. » Rien de plus clair que ce motif d'ornement. Il est facile aussi d'exprimer, par la seule disposition des trophées , la double intention du décorateur : il suffit de représenter les trophées des vainqueurs élevés en l'air, et ceux des vaincus, comme des monceaux...
Page 381 - ... toutes par la mollesse de ses attitudes et la lubricité de ses regards. Indigné de voir une telle femme commander à des hommes, et ces hommes...
Page 238 - Altarras le saisit; & s'estant éveillé en sursaut comme on lui mettoit les fers aux mains, il s'écria : <• Ah ! Seigneur, la rage « de mes ennemis a prévalu sur votre bonté.
Page 366 - KUfuipit, formant une sorte de tympan de fronton , brillait le trône d'or d'Alexandre , d'où pendaient des festons ou guirlandes de fleurs. Sous le péristyle , on voyait le tableau représentant Alexandre dans son char, et, des deux côtés de la porte, les lions qui en gardaient l'entrée. Colonnes en or. « Diodore dit que les colonnes étaient d'or.