Histoire de l'Académie française, Volume 1

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Fréquemment cités

Page 98 - Qu'on parle mal ou bien du fameux Cardinal, Ma prose ni mes vers n'en diront jamais rien : II m'a fait trop de bien pour en dire du mal, II m'a fait trop de mal pour en dire du bien.
Page 33 - Si DONNONS en mandement à nos amés et féaux Conseillers les gens tenant notre...
Page 30 - Louis, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, à tous présents et à venir, salut.
Page 399 - Règlements, sans qu'il soit besoin d'autres Lettres de Nous que les présentes, par lesquelles Nous confirmons dès maintenant comme pour lors, tout ce qu'il fera pour ce regard.
Page 123 - Quand un roi fainéant, la vergogne des princes, Laissant à ses flatteurs le soin de ses provinces, Entre les voluptés indignement s'endort, Quoique l'on dissimule, on n'en fait point d'estime ; Et si la vérité se peut dire sans crime, C'est avecque plaisir qu'on survit à sa mort.
Page 123 - Certes quiconque a vu pleuvoir dessus nos têtes Les funestes éclats des plus grandes tempêtes Qu'excitèrent jamais deux contraires partis, Et n'en voit aujourd'hui nulle marque paroître, En ce miracle seul il peut assez connoître Quelle force a la main qui nous a garantis.
Page 237 - M. d'Urfé', l'un des plus rares et des plus merveilleux esprits que la France ait jamais portés...
Page 39 - Si donnons en mandement à nos âmes et féaux conseillers, les gens tenant notre cour de parlement de Paris...
Page 31 - ... introduits, mais aussi de l'enrichir de tous les ornements convenables à la plus illustre et la plus ancienne de toutes les Monarchies qui soient aujourd'hui dans 1 Registres, 13 novembre 163t. — * Registres, 2 janvier 1635. le monde. Et, quoique Nous ayons travaillé sans cesse à l'exécution de ce dessein , il Nous a été impossible jusqu'ici d'en voir l'entier accomplissement.
Page 504 - L'Acade'mie est comme un vrai chapitre ; Chacun à part promet d'y faire bien , Mais tous ensemble ils ne tiennent plus rien ; Mais tous ensemble ils ne font rien qui vaille. Depuis six ans dessus l'F on travaille ; Et le destin m'aurait fort obligé S'il m'avait dit : Tu vivras jusqu'au G.

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