Ouvrages historiques de Polybe, Hérodien et Zozime: avec notices biographiquesA. Desrez, 1836 - 768 pages |
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Autres éditions - Tout afficher
Ouvrages historiques de Polybe, Hérodien et Zozime Polybius,Herodianus historicus,Zosimus (historicus) Affichage du livre entier - 1836 |
Ouvrages historiques de Polybe, Hérodien et Zozime Polybius,Hérodien ((grammairien ;),Jean Alexandre C. Buchon,Zosimus (historicus) Affichage du livre entier - 1852 |
Expressions et termes fréquents
Achéens Achéus affaires Africains alliés Alpes ambassadeurs Amilcar Annibal Antigonus Antiochus Aratus armes arriva Asdrubal assiégés Autarite avaient ayant bataille Boïens butin c'était camp Carthage Carthaginois cavalerie cents chefs choses citadelle Cléomène Colonnes d'Hercule combat commandait consul côté d'Annibal Démétrius dessein devant donna Dorimaque éléphans ennemis ensuite envoya Étoliens événemens firent fleuve garde Gaulois général Gescon ginois Grecs guerre Hannon hommes de pied Illyriens jeta jour l'armée l'autre l'Ebre l'infanterie l'Italie Lacédémoniens légions Léontius Lilybée Macédoine Macédoniens mains marche Mathos mée ment mer Adriatique Messène Messéniens mille chevaux mille hommes n'avaient nombre Numides ordre passer patrie pays pendant pensa pesamment armés peuples Phénice Philippe plaine Polybe porter postes pouvait premier prendre préteur prisonniers prit Ptolémée Publius qu'Annibal rangs rent république reste Rhône rien rois Romains Rome s'était Sagonte Sardaigne Scipion secours serait seulement Sicile siége soldats sorte Sosibe Spendius stades terre thaginois traité troupes vaisseaux villes vint
Fréquemment cités
Page 11 - ... risque, et, avec des vaisseaux si légers, il leur était aisé de prendre le large. L'ennemi s'avançait-il pour les poursuivre, ils se tournaient, voltigeaient autour ou lui tombaient sur le flanc et le choquaient sans cesse, pendant que le vaisseau romain pouvait à peine revirer, à cause de sa pesanteur et du peu d'expérience des rameurs ; ce qui fut cause qu'il y en eut un grand nombre de coulés à fond, tandis que si un des vaisseaux carthaginois était en péril, on pouvait en sûreté...
Page 100 - ... deux de blé. L'infanterie des alliés reçoit la même ration que celle des Romains ; leur cavalerie, un médimne et un tiers de blé, et sept d'orge. Cette distribution se fait , aux alliés, gratuitement; mais , à l'égard des Romains , on leur...
Page 119 - ... n'aura que quatre lettres, mais cela est sans aucune conséquence pour le but que l'on se propose; que ceux qui seront désignés pour donner et recevoir les signaux écrivent sur cinq tablettes ces cinq classes des lettres, et conviennent ensuite entre eux que celui qui devra donner le signal lèvera d'abord deux fanaux à la fois, et qu'il les tiendra levés jusqu'à ce que de l'autre côté on en ait aussi levé deux , afin que de part et d'autre on soit averti que l'on est prêt; que, les...
Page 38 - Il est vrai qu'ils avaient ù combattre de deux côtés; mais aussi, rangés dos à dos, ils se mettaient mutuellement à couvert de tout ce qui pouvait les prendre en queue. Et, ce qui devait le plus contribuer à la victoire, tout moyen de fuir leur était interdit ; et une fois dé(1) Voyez l'Atlas.
Page 59 - Il craignait que les Carthaginois dominant dans ces contrées, et y amassant des munitions et de l'argent en abon'dance, ne se rendissent maîtres de la mer, et qu'en fournissant de l'argent et des troupes à Annibal, ils ne l'aidassent à subjuguer l'Italie. C'est pour cela que cette guerre leur parut si importante, qu'ils envoyèrent une flotte et...
Page 122 - ... ses premières actions ; bel exemple pour ceux qui sont chargés de la conduite d'une guerre. Ils doivent apprendre de là deux choses: la première à ne pas tromper, en s'exposant témérairement, les espérances de ceux qui ont mis en eux leur confiance; et la seconde, à ne point joindre l'infamie aux malheurs par un trop grand amour pour la vie.
Page 20 - Àmilcar : il lui dit qu'il voulait du bien à tous les Carthaginois en général , mais qu'il souhaitait surtout d'être ami d'Amilcar ; qu'il n'était venu que pour lier amitié avec lui , disposé de son côté à entrer dans toutes ses vues et à partager tous ses travaux. Ce discours, joint à la confiance et à l'ingénuité avec laquelle ce jeune homme parlait, donna tant de joie à Amilcar, que non seulement il voulut bien l'associer à ses actions, mais qu'il lui fit serment de lui donner...
Page 31 - ... rendre maîtres de l'Italie, mais encore pour demeurer paisibles dans leur propre patrie. Ils envoyèrent donc des ambassadeurs à Asdrubal , et dans le traité qu'ils firent avec lui, sans faire mention du reste de l'Espagne, ils exigeaient seulement qu'il ne portât pas la guerre au-delà de l'Ebre : ces conditions acceptées, ils tournèrent toutes leurs forces contre les Gaulois. A propos de ce peuple , nous ne ferons pas mal d'en donner ici l'histoire en raccourci , et de la reprendre au...
Page 95 - Hannibal, général, et avec lui tous les sénateurs de Carthage et tous ses soldats , ont dit : » Afin que désormais nous vivions ensemble comme amis et comme frères , soit fait, sous votre bon plaisir et le nôtre, ce traité de paix et d'alliance, à condition que le roi Philippe , les Macédoniens et tout ce qu'ils ont d'alliés parmi les autres Grecs , conserveront et défendront les...
Page xix - La vérité était son unique étude. C'est de lui que l'on tient cette maxime célèbre, que la vérité est à l'histoire ce que les yeux sont aux animaux ; que comme ceux-ci ne sont d'aucun usage dès qu'on leur a crevé les yeux, de même l'histoire sans la vérité n'est qu'une narration amusante et infructueuse. Mais on peut dire qu'ici ce qu'il ya de moins à regretter, ce sont les faits. Quelle perte irréparable que les excellentes règles de...