La Semaine des familles: revue universelle hebdomadaire, Volume 4

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J. Lecoffre et cie., 1862
 

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Fréquemment cités

Page 184 - Sans avoir le brillant de son prédécesseur, il en avoit tout le solide, des vues droites et désintéressées, sans préjugé et sans passion : une fermeté toujours d'accord avec la raison; une valeur que le flegme sçavoit modérer et rendre utile ; un grand sens, beaucoup de probité et d'honneur, et une pénétration d'esprit, à laquelle une grande application avoit ajouté tout ce qu'une longue expérience peut donner de lumières.
Page 264 - Je meurs innocent de tous les crimes qu'on m'impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France.
Page 400 - Marthe, Marthe, vous vous empressez et vous vous troublez dans le soin de beaucoup de choses. Cependant une seule est nécessaire ; Marie a choisi la meilleure part, qui ne lui sera point ôtée 2.
Page 34 - Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel des nids ; mais le Fils de l'homme n'a pas où reposer sa tête.
Page 313 - ... n'ai-je pas l'imagination qui rend les jouissances des arts et de l'esprit nécessaires? Tant de gens demandent à Votre Majesté des avantages réels de toute espèce! pourquoi rougirais-je de lui demander l'amitié...
Page 310 - L'un de ces tribuns, ami de la liberté, et doué d'un des esprits les plus remarquables que la nature ait départi à aucun homme, M. Benjamin Constant, me consulta sur un discours qu'il se proposait de faire, pour signaler l'aurore de la tyrannie : je l'y encourageai de toute la force de ma conscience.
Page 185 - Français, de leur côté .étaient convaincus qu'il n'exigerait jamais rien d'eux que de raisonnable; que, pour n'avoir ni la naissance, ni les grandes alliances du comte de Frontenac, ni le rang de lieutenant général des armées du roi, il ne saurait pas moins se faire obéir que lui, et qu'il n'était pas homme à leur faire trop sentir le poids de son autorité.
Page 209 - J'adore vos desseins éternels et impénétrables, je m'y soumets de tout mon cœur, pour l'amour de vous. Je veux tout, j'accepte tout, je vous fais un sacrifice de tout et j'unis...
Page 40 - Pour forcer ta prison tu fais de vains efforts ; La rage de tes flots expire sur tes bords. Fais sentir ta vengeance à ceux dont l'avarice Sur ton perfide sein va chercher son supplice. Hélas ! prêts à périr, t'adressent-ils leurs vœux ? Ils regardent le ciel, secours des malheureux.
Page 355 - Il a précipité dans la mer le cheval et le cavalier. Le Seigneur est ma force, et le sujet de mes louanges, parce qu'il est devenu mon salut (ou mon Sauveur).

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