Œuvres de Fénelon, archevêque de Cambrai, Volume 3Firmin Didot Frères, Libraries, 1845 |
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Œuvres de Fénelon, archevêque de Cambrai, Volume 2 François de Salignac de La Mothe- Fénelon Affichage du livre entier - 1870 |
Œuvres de Fénelon, archevêque de Cambrai, Volume 2 François de Salignac de La Mothe- Fénelon Affichage du livre entier - 1835 |
Œuvres de Fénelon, archevêque de Cambrai, Volume 3 François de Salignac de La Mothe- Fénelon Affichage du livre entier - 1865 |
Expressions et termes fréquents
aime arrive assez aurait avaient avez besoin c'était cause changer cher chercher choses cœur commença conseil corps côté coup d'autres d'être demande demeure devant Dieu dieux dire disait dit-il doit donner enfants enfin ennemis état faisait femme fils fond force forme fort garde gens gloire gouvernement Grecs guerre heureux hommes j'ai jette jeune jour juger laisser liberté lieu livre loin lois lui-même main malheureux ment Mentor mettre mieux monde montrer mort n'avait n'en n'était nation naturel nécessaire paix parler paroles passer passions pays peine pendant pensées père personne peuple philosophie place plaisir plein porte pourrait pouvait pouvoir premier présent prince propre puissance puisse qu'à qu'un raison regarder règle rendre répondit reste rien rois s'en s'il sage sais semble sentiments serait servir seul sortes souffrir souvent suivant sujets Télémaque tenir terre tomber traité trouver Ulysse vaisseau venir vent vérité vertu Voilà voulait voyait vrai yeux
Fréquemment cités
Page 429 - Cependant vos peuples, que vous devriez aimer comme vos enfants, et qui ont été jusqu'ici si passionnés pour vous, meurent de faim. La culture des terres est presque abandonnée; les villes et la campagne se dépeuplent; tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers. Tout commerce est anéanti.
Page 83 - Il voulut qu'on punît sévèrement toutes les banqueroutes, parce que celles qui sont exemptes de mauvaise foi ne le sont presque jamais de témérité. En même temps il fit des règles pour faire en sorte qu'il fût aisé de ne faire jamais banqueroute.
Page 49 - Quand on parle à ces peuples des batailles sanglantes , des rapides conquêtes , des renversemens d'état qu'on voit dans les autres nations , ils ne peuvent assez s'étonner. Quoi! disent-ils, les hommes ne sont-ils pas assez mortels , sans se donner encore les uns aux autres une mort précipitée ? la vie est si courte ! et il semble qu'elle leur paraisse trop...
Page 218 - L'homme digne d'être écouté est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu...
Page 238 - L'eau frémit sous le Dieu qui lui donne la loi (3), Et semble avec plaisir reconnoltre son roi. Cependant le char vole, etc. Ainsi le législateur des Juifs, qui n'étoit pas un homme ordinaire, ayant fort bien conçu la grandeur et la puissance de Dieu, l'a exprimée dans toute sa dignité au commencement de ses lois, par ces paroles : Dieu dit, Que la lumière se fasse; et la lumière se fit : Que la terre se fasse; et la terre fut faite.
Page 82 - J'avoue, reprit Mentor, qu'il a fait de grandes fautes; mais cherchez dans la Grèce et dans tous les autres pays les mieux policés un roi qui n'en ait point fait d'inexcusables. Les plus grands hommes ont, dans leur tempérament et dans le caractère de leur esprit, des défauts qui les entraînent, et les plus louables sont ceux qui ont le courage de connaître et de réparer leurs égarements.
Page 97 - Il se regardait comme étant d'une autre nature que le reste des hommes ; les autres ne lui semblaient mis sur la terre par les dieux que pour lui plaire, pour le servir, pour prévenir tous ses désirs, et pour rapporter...
Page 93 - D'abord, je l'interrompis , en lui disant : Quoi ! Achille est mort ! Pardonne-moi, mon fils, si je trouble ton récit par les larmes que je dois à ton père.
Page 67 - C'est ainsi que les justes dieux, amateurs des hommes, qu'ils ont formés, veulent être le lien éternel de leur parfaite concorde. Tout le genre humain n'est qu'une famille dispersée sur la face de toute la terre. Tous les peuples sont frères, et doivent s'aimer comme tels.
Page 113 - J'ai cru que le reste des hommes était, à l'égard des rois , ce que les chevaux et les autres tétés de charge sont à l'égard des hommes , c'està-dire des animaux dont on ne fait cas qu'autant qu'ils rendent de services , et qu'ils donnent de commodités. Je l'ai cru ; c'est vous qui me l'avez fait croire; et maintenant je souffre tant de maux pour vous avoir imité.