Il n'avait pas tort, ce me semble, de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie , et pour dénouer notre versification naissante. Mais , en fait de langue , on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes... Malherbe: litterarhistorische Skizze - Page 50de E. Laur (of Heidelberg.) - 1869 - 62 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - 706 pages
...Francois mêmes. Il n'avoit pas tort , ce me semble , de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie, et pour...naissante. Mais, en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour lesquels on parle. On ne doit jamais faire deux pas à la... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - 742 pages
...Francois mêmes. Il n'avoit pas tort , ce me semble , de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie, et pour...naissante. Mais, en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour lesquels on parle. On ne doit jamais faire deux pas à la... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 444 pages
...Français mêmes. Il n'avoit pas tort , ce me semble , de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue , pour enhardir notre poésie , et pour...naissante. Mais , en fait de langue , on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour lesquels on parle. On ne doit jamais faire deux pas- à la... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1825 - 466 pages
...François mêmes. Il n'avoit pas tort, ce me semble, de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie, et pour...naissante. Mais, en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour lesquels on parle. On ne doit jamais faire deux pas à la... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1845 - 742 pages
...Français mêmes. Il n'avait pas tort, ce me semble, de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie , et pour...naissante. Mais , en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour lesquels on parle. On ne doit jamais faire deux pas à la... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1846 - 592 pages
...Français mêmes. Il n'avait pas tort, ce me semble , de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue , pour enhardir notre poésie , et pour dénouer notre versification naissante. Mais, 1 VIBG., Eclag. vu , v. 57. Dans nos champs , dévorés de soif el de chaleur , En vain l'iierbe mourante... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1857 - 440 pages
...semble, de lenler quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie, el pour dénouer notre versification naissante. Mais, en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour lesquels on parle. On ne doit jamais faire denx pas à la... | |
| Eugène Crépet - 1861 - 746 pages
...Chapelain. — « 11 n'avait pas tort, a dit Fénelon, de tenter quelque voie nouvelle .pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie et pour dénouer notre versification naissante. » Son tort, ce fut de tenter trop de choses d'un seul coup : « on ne doit pas faire deux pas à la... | |
| Pierre de Ronsard - 1867 - 388 pages
...Fénelon avait osé écrire à l'Académie que « Ronsard avait tenté une nouvelle route pour » enrichir notre langue, pour enhardir notre « poésie, et pour dénouer notre versification •> naissante. » Fontanelle consacrait pour lui « la qualité de » prince des poètes qui ont paru avant Mal»... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1869 - 152 pages
...François mêmes. Il n'avoit pas tort, ce me semble, de tenter quelque nouvelle route, pour, enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie, et pour dénouer notre versification naissante. Mais, en"l'ait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour lesquels on parle. On ne... | |
| |