Französische Literaturbilder aus dem Bereich der Aesthetik: seit der Renaissance bis auf unsere Zeit, Parties 1 à 2J. C. Hermann, 1858 |
Autres éditions - Tout afficher
Französische Literaturbilder aus dem Bereich der Aesthetik: seit der ... Alexander Büchner Affichage du livre entier - 1858 |
Expressions et termes fréquents
Akademie Alfred de Musset alsbald André Chénier Anmuth Antike Balzac beiden Béranger Boileau Büchner Bühne Chateaubriand Corneille deſſen Dichter Dichtung dieſer dramatischen Dumas eigenthümliche eignen Einfluß endlich Erfolg Erhabenheit erscheinen ersten Erzählungen Frankreich französischen Frau Freund gallischen ganze Gattung Gedicht Geist Gérard de Nerval Geschmack großen heit höchst höheren Hugo Intrigue iſt Jahre Jahrhunderts Jean jezt Julirevolution jungen klassischen komischen Komödie König Kritik Kunst Lafontaine Lamartine Lamartine's läßt Leben lezten lich Liebe ließ literarischen Literaturbilder Ludwig XIV Lyrik lyrischen macht Mann Marot Menschen Misanthrop Molière Muse muß Nachahmung Namen namentlich Natur neuen Novellen Paris Plejade plöglich poetischen politischen Publikum Rabelais Racine Racine's rarische Recht Reihe Roman Ronsard sagt Satire schen Schule ſein ſeine ſelbſt ſich ſie Sprache Stoff Stücke Styls Tages Talent Tartuffe Thätigkeit Théatre Théatre français Theil tout tragische Tragödie trefflichen troß tüchtigen unserer Vater vers viel Voltaire Weise weiß Welt weniger Werk Wesen wieder Worten Zeitgenossen
Fréquemment cités
Page 345 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 14 - J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson, Et, comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin ; Je veux achever ma journée.
Page 235 - Je m'avoue, il est vrai, s'il faut parler ainsi, Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles : Je suis chose légère, et vole à tout sujet; Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet; A beaucoup de plaisirs je mêle un peu de gloire.
Page 23 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui. Je ne veux point mourir encore.
Page 14 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.
Page 239 - Lorsque sur cette mer on vogue à pleines voiles, Qu'on croit avoir pour soi les vents et les étoiles, II est bien malaisé de régler ses désirs...
Page 180 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur ? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée...
Page 238 - J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.