L'art de la correspondance commerciale: précédé d'un traité de style épistolaire et suivi d'un vocabulaire des termes du commercechez Clément, 1870 |
Expressions et termes fréquents
15 courant Accusé de réception accuser réception adresser affaires affectueuses agréable Agréez mes salutations avez bien voulu avis d'expédition avis de traite avons l'honneur avons reçu balles barriques besoin billets de banque bonne cérité CHAPITRE circulaire complément comptabilité compte confiance Conseil des Prud'hommes cordiales salutations créanciers créditer d'agréer débiteur dévouement doit ou débit échéance écrit effet de commerce engagements envoi expédiées faillite fonds de commerce frais Henri Delmas J'ai l'honneur J'ai reçu l'assurance l'échéance l'expression lettre de change lettre de crédit lettre du 10 m'adresser m'en m'expédier maison de commerce marchand ment merce mois Monsieur B négociant obligé offres de services opérations ordre payer pensée personne phrase porteur prendre présente prions protêt qualité Recevez réclamer règles regret relations remboursement remise Réponse saluer salutations empressées sentiments sera sieur B signature sincères salutations solde somme sucre sujet tion tribunal de commerce valeur verbe vergeoise Veuillez agréer viens vous prier voudrez
Fréquemment cités
Page 220 - Le mandat ou procuration est un acte par lequel une personne donne à une autre le pouvoir de faire quelque chose pour le mandant et en son nom.
Page 16 - Lorsque le complément d'un verbe renferme plusieurs parties unies par une des conjonctions et, ni, ou, ces parties doivent être exprimées par des mots de même espèce, c'est-à-dire qu'alors les conjonctions et, ni, ou, ne doivent unir qu'un substantif à un substantif, un verbe à un verbe, une proposition à une proposition, etc. De là, les phrases suivantes sont incorrectes : 11 aime le jeu et à étudier.
Page 15 - Quand deux verbes ne veulent pas le même complément, c'est-à-dire quand l'un veut un complément direct et l'autre un complément indirect, il faut donner à chacun le complément qui lui convient : II attaqua la ville et s'en empara.
Page 227 - L'article 1832 du code civil définit de la façon suivante le contrat de société : « la société est un contrat par lequel deux ou plusieurs personnes conviennent de mettre quelque chose en commun dans le but de partager le bénéfice qui pourra en résulter.
Page 124 - C'est aussi l'une des premières qualités sociales que celle qui nous porte à manifester le regret d'avoir eu des torts, et le désir de les réparer. Tout consiste dans la manière dont on s'y prend pour qu'ils s'oublient.
Page 177 - ... cet effet toutes requêtes, et faire tous dires et observations; faire vérifier ma créance, en affirmer la sincérité, comme je l'affirme par le présent pouvoir; vérifier, admettre ou rejeter tous titres produits par les autres créanciers , se faire rendre compte de l'état de ladite faillite...
Page 224 - Il ya provision si, à l'échéance de la lettre de change, celui sur qui elle est fournie est redevable au tireur, ou à celui pour compte de qui elle est tirée, d'une somme au moins égale au montant de la lettre de change.
Page 14 - C'est à vous QUE je parle, c'est de vous Qu'il s'agit, c'est à la ville QUE je vais. 527. — II ne faut pas donner à un verbe un autre complément que celui qu'il exige : par exemple, nuire, parler, pardonner, demandent un complément indirect, car on dit : nuire à quelqu'un, parler à quelqu'un, pardonner à quelqu'un, il ne faut donc pas dire...
Page 9 - Pour bien écrire, il faut donc posséder pleinement son sujet, il faut y réfléchir assez pour voir clairement l'ordre de ses pensées, et en former une suite, une chaîne continue, dont chaque point représente une idée ; et lorsqu'on aura pris la plume, il faudra la conduire successivement sur ce premier trait, sans lui permettre de s'en écarter, sans l'appuyer trop inégalement, sans lui donner d'autre mouvement que celui qui sera déterminé par l'espace qu'elle doit parcourir.
Page 230 - Le voiturier est garant de la perte des objets à transporter, hors le cas de force majeure. Il est garant des avaries autres que celles qui proviennent du vice propre de la chose ou de la force majeure.