Matinees litteraires: Cours complete de litterature moderne, Volume 1Garnier Frères, 1857 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 162 - Je suis jeune, il est vrai, mais aux âmes bien nées La valeur n'attend pas le nombre des années...
Page 378 - Capitole ; donnez en cette Grèce menteresse, et y semez encore un coup la fameuse nation des Gallo-Grecs. Pillezmoi sans conscience les sacrés trésors de ce temple delphique ainsi que vous avez fait autrefois, et ne craignez plus ce muet Apollon , ses faux oracles ni ses flèches rebouchées. Vous souvienne de votre ancienne Marseille , seconde Athènes, et de votre Hercule gallique, tirant les peuples après lui par leurs oreilles avec une chaîne d'or attachée à sa langue.
Page 376 - Et son teint au vôtre pareil. Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place, Las ! las ! ses beautés laissé choir ! O vraiment marâtre nature, Puisqu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à cette fleur, la vieillesse Fera ternir votre beauté.
Page 359 - Amyot, dans le cardinal d'Ossat, dans les ouvrages les plus enjoués, et dans les plus sérieux : il avoit je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné.
Page 191 - Ha, gentil sire, depuis que je repassai la mer en grand péril, si comme vous savez, je ne vous ai rien requis ni demandé : or vous...
Page 363 - En l'amitié de quoi je parle, elles se mêlent et confondent l'une en l'autre, d'un mélange si universel, qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes.
Page 232 - C'est à sçavoir moins se soucier, et moins se travailler, et entreprendre moins de choses, et plus craindre à offenser Dieu, et à persécuter le peuple...
Page 229 - Vous y trouverez le langage doulx et agréable, d'une naïfve simplicité ; la narration pure, et en laquelle la bonne foy de...
Page 49 - Le gourmand mange sa mort. Quand un » homme allume du feu , la mort entre chez lui » avant que ce feu soit éteint. Louez la beauté » du jour quand il est fini. Ne vous fiez ni à la » glace d'une nuit, ni au serpent qui dort, ni « aux tronçons de l'épée, ni au champ nouvel
Page 101 - Et quiconque aura quitté sa maison, ou ses frères ou ses sœurs, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses champs, à cause de mon nom, recevra le centuple et possédera la vie éternelle.