Histoire des républiques italiennes du moyen âge, Volume 15H. Nicolle, 1818 |
Autres éditions - Tout afficher
Histoire des républiques italiennes du moyen âge, Volume 15 Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi Affichage du livre entier - 1818 |
Histoire des républiques italiennes du moyen âge, Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi Affichage du livre entier - 1826 |
Histoire des républiques italiennes du moyen âge, Volume 15 Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi Affichage du livre entier - 1826 |
Expressions et termes fréquents
alliés André Doria Antonio de Leyva armée Arnoldi Ferroni auroit avoient avoit Belcarii Bened Bern Bonnivet Bourbon Cambi Capponi cardinal cents CHAP Charles-Quint château château Saint-Ange Clément VII comte CXIV CXIX CXVI CXVII dataire Davali devoient devoit duc d'Urbin duc de Ferrare duc de Milan duché Espagnols étoient étoit faisoit Fior Florence Florentins flotte François Ier François Sforza Frundsberg Galeatius Capella Gênes Génois Giov guerre Guicciardini ibid Italiens Jacopo Nardi Jean de Médicis Jovii vita Ferd l'armée impériale l'Église l'empereur l'Italie landsknechts Lautrec Lett liberté ligue Lombardie long-temps marquis de Saluces Martin du Bellay Mém mille ducats mille fantassins Moncade n'avoient n'avoit négociations Nerli Paolo Giovio Paolo Giovio Vita pape Pauli Jovii Hist Pavie Pescaire Pompeo Colonna pouvoit prince d'Orange Prosper Colonna Renzo de Céri république Rome royaume de Naples s'étoient s'étoit Scipione Ammirato seroit soldats Suisses Trivulzio troupes trouvoit Varchi Venise Vénitiens vice-roi vouloit XVIII
Fréquemment cités
Page 87 - Hélas ! mon Dieu, je suis mort. » Si print son espée par la poignée et baisa la croisée en signe de la croix, et en disant tout hault : « Miserere mei, Deus, secundum...
Page 88 - Monsieur, il n'ya point de pitié en moy, car je meurs en « homme de bien. Mais j'ai pitié de vous, de vous voir » servir contre vostre prince et vostre patrie et vostre ser
Page 279 - Venise avoit donné des ordres pressans à son général , de secourir son allié. Seulement le duc d'Urbin , dont la haine et la rancune contre la maison de Médicis cherchoient avidement des prétextes dans son système timide de tactique , faisoit naître à chaque heure de nouveaux obstacles. Le pape le faisoit solliciter de venir prendre position à la croix de Mont-Marino , siuation très-forte, en face du château Saint- Ange, d'où il auroit été (i) Fr.
Page 49 - Ier alloit y apporter la guerre. Le pape jugea que ce n'étoit point s'écarter du rôle de père commun des fidèles, que de garantir l'état actuel , et de repousser, de concert avec tous les autres Italiens , une invasion étrangère , et le 3 août il signa à Rome, avec le vice-roi de Naples, une confédération qu'on négocioit depuis long-temps , par laquelle le pape, l'empereur, le roi d'Angleterre, l'archiduc d'Autriche, le duc de Milan, le cardinal de Médicis au nom des Florentins , les...
Page 87 - ... pit tout le gros os de l'eschine. Quand il sentit y> le coup , se print à crier , Jésus ! Et puis dit : » Hélas ! mon Dieu , je suis mort! Si print son » épée par la poignée , et baisa la croisée en si» gne de la croix, et en disant tout haut, miserere
Page 87 - espée par la poignée , et baisa la croisée en si» gne de la croix, et en disant tout haut, miserere » mei Domine! » (2) Cependant Bayard se fit descendre de cheval « par un sien maistre- d'hôtel qui jamais ne » l'abandonna , et se fit coucher au pied d'un » arbre , le visage devers l'ennemi , où le duc » de Bourbon qui estoit à la poursuite de notre (i) Pauli Jovii, fila Davali, L.
Page 236 - Cependant tous les maux précédens étoient peu de chose , à côté des maux que devoit leur amener l'année 1627 , année de honte pour ceux qui les accablèrent , et de désolation pour eux ; année dans laquelle les fléaux de la peste , de la guerre et de la famine se réunirent pour les écraser, eu.
Page 348 - Princ. T. II, f. no. (7) Fr. Guicciardini , Lib. XIX, p. 5oo. . cxix. » seroit plus généreuse et plus illustre encore, M sj ene n'étoit entourée de je ne sais quelle » ombre, qui en altère la splendeur ». André Doria soupira, il resta muet quelques momens; puis il reprit : « Un homme peut s'estimer heu» reux quand il réussit à faire une belle action , » encore que les moyens ne soient pas entière
Page 66 - Farnèse , Monti, Grassi, Sodérini et Carvajal ; ils cherchoient réciproquement à acheter des suffrages , sans s'exposer au reproche de simonie ; l'expédient qui paroissoit mettre le mieux leurs consciences en repos étoit celui des gageures. Ainsi les partisans de Médicis offroient à tout cardinal du parti contraire, de parier douze mille ducats contre cent, que Médicis ne seroit point pape; les partisans de Sodérini en offroient de même dix mille ; et ces derniers avoient pour eux tout...
Page 179 - Flandre et sur l'Artois, renonçât à toutes ses « prétentions sur le royaume de Naples, le duché de Milan, le comté d'Asti, la seigneurie de Gênes, — cédât la Provence au duc de Bourbon, qui la réunirait à ses anciens...