Histoire des républiques italiennes du moyen âge, Volume 15

Couverture
 

Autres éditions - Tout afficher

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 87 - Hélas ! mon Dieu, je suis mort. » Si print son espée par la poignée et baisa la croisée en signe de la croix, et en disant tout hault : « Miserere mei, Deus, secundum...
Page 88 - Monsieur, il n'ya point de pitié en moy, car je meurs en « homme de bien. Mais j'ai pitié de vous, de vous voir » servir contre vostre prince et vostre patrie et vostre ser
Page 279 - Venise avoit donné des ordres pressans à son général , de secourir son allié. Seulement le duc d'Urbin , dont la haine et la rancune contre la maison de Médicis cherchoient avidement des prétextes dans son système timide de tactique , faisoit naître à chaque heure de nouveaux obstacles. Le pape le faisoit solliciter de venir prendre position à la croix de Mont-Marino , siuation très-forte, en face du château Saint- Ange, d'où il auroit été (i) Fr.
Page 49 - Ier alloit y apporter la guerre. Le pape jugea que ce n'étoit point s'écarter du rôle de père commun des fidèles, que de garantir l'état actuel , et de repousser, de concert avec tous les autres Italiens , une invasion étrangère , et le 3 août il signa à Rome, avec le vice-roi de Naples, une confédération qu'on négocioit depuis long-temps , par laquelle le pape, l'empereur, le roi d'Angleterre, l'archiduc d'Autriche, le duc de Milan, le cardinal de Médicis au nom des Florentins , les...
Page 87 - ... pit tout le gros os de l'eschine. Quand il sentit y> le coup , se print à crier , Jésus ! Et puis dit : » Hélas ! mon Dieu , je suis mort! Si print son » épée par la poignée , et baisa la croisée en si» gne de la croix, et en disant tout haut, miserere
Page 87 - espée par la poignée , et baisa la croisée en si» gne de la croix, et en disant tout haut, miserere » mei Domine! » (2) Cependant Bayard se fit descendre de cheval « par un sien maistre- d'hôtel qui jamais ne » l'abandonna , et se fit coucher au pied d'un » arbre , le visage devers l'ennemi , où le duc » de Bourbon qui estoit à la poursuite de notre (i) Pauli Jovii, fila Davali, L.
Page 236 - Cependant tous les maux précédens étoient peu de chose , à côté des maux que devoit leur amener l'année 1627 , année de honte pour ceux qui les accablèrent , et de désolation pour eux ; année dans laquelle les fléaux de la peste , de la guerre et de la famine se réunirent pour les écraser, eu.
Page 348 - Princ. T. II, f. no. (7) Fr. Guicciardini , Lib. XIX, p. 5oo. . cxix. » seroit plus généreuse et plus illustre encore, M sj ene n'étoit entourée de je ne sais quelle » ombre, qui en altère la splendeur ». André Doria soupira, il resta muet quelques momens; puis il reprit : « Un homme peut s'estimer heu» reux quand il réussit à faire une belle action , » encore que les moyens ne soient pas entière
Page 66 - Farnèse , Monti, Grassi, Sodérini et Carvajal ; ils cherchoient réciproquement à acheter des suffrages , sans s'exposer au reproche de simonie ; l'expédient qui paroissoit mettre le mieux leurs consciences en repos étoit celui des gageures. Ainsi les partisans de Médicis offroient à tout cardinal du parti contraire, de parier douze mille ducats contre cent, que Médicis ne seroit point pape; les partisans de Sodérini en offroient de même dix mille ; et ces derniers avoient pour eux tout...
Page 179 - Flandre et sur l'Artois, renonçât à toutes ses « prétentions sur le royaume de Naples, le duché de Milan, le comté d'Asti, la seigneurie de Gênes, — cédât la Provence au duc de Bourbon, qui la réunirait à ses anciens...

Informations bibliographiques