Le Parnasse français: A book of French poetry, from A. D. 1550 to the present timeJames Parton J. R. Osgood, 1877 - 515 pages |
Table des matières
| 15 | |
| 95 | |
| 156 | |
| 164 | |
| 267 | |
| 272 | |
| 273 | |
| 289 | |
| 388 | |
| 395 | |
| 402 | |
| 413 | |
| 422 | |
| 428 | |
| 434 | |
| 442 | |
| 295 | |
| 301 | |
| 324 | |
| 325 | |
| 328 | |
| 334 | |
| 342 | |
| 348 | |
| 354 | |
| 363 | |
| 382 | |
| 448 | |
| 455 | |
| 462 | |
| 469 | |
| 477 | |
| 488 | |
| 494 | |
| 500 | |
| 506 | |
| 512 | |
Autres éditions - Tout afficher
Le Parnasse français: A book of French poetry, from A. D. 1550 to the ... James Parton Affichage du livre entier - 1877 |
Le Parnasse français: A book of French poetry, from A. D. 1550 to the ... James Parton Affichage du livre entier - 1877 |
Le Parnasse français: A book of French poetry, from A. D. 1550 to the ... James Parton Affichage du livre entier - 1877 |
Expressions et termes fréquents
ailes aime ALCESTE ALEXIS PIRON ALFRED DE MUSSET ALFRED DE VIGNY âme amour André Chénier AUGUSTE BARBIER beau blanc bois bonheur bords bras brille brise bruit chants CHARLES BAUDELAIRE charmant cher ciel cieux cœur d'or Dieu dieux divin douce douleur doux enfants esprit éternel femme fille fils flamme fleurs flots FRANÇOIS COPPÉE front gloire Hélas heureux homme j'ai jamais Jean Chouan JEAN-BAPTISTE ROUSSEAU jette jeune JOSEPH AUTRAN jour l'âme l'amour l'enfant l'herbe l'homme l'ombre l'onde l'univers laisse LAMARTINE main ment mère monde monts mort mortels Mourad mourir murs noir nuage nuit oiseaux ombre ORONTE pâle parfum passé pauvre pensée père peuple pieds PIERRE DE RONSARD plaine pleurs poëte qu'un rayons regard rêve rien rois rose saint sang Seigneur sent seul soir soleil sombre sort souffle sourire terre tête tombe tombeau tremble triste VADIUS vent VICTOR HUGO vieux voilà voile vois voit voix VOLTAIRE yeux
Fréquemment cités
Page 425 - Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux.
Page 492 - C'était, dans la nuit brune, Sur le clocher jauni, La lune, Comme un point sur un i. Lune, quel esprit sombre . Promène au bout d'un fil, Dans l'ombre, Ta face et ton profil ? Es-tu l'œil du ciel borgne?
Page 404 - M'ôter, pour faire bien, du grenier de céans, Cette longue lunette à faire peur aux gens, Et cent brimborions dont l'aspect importune ; Ne point aller chercher ce qu'on fait dans la lune ; Et vous mêler un peu de ce qu'on fait chez vous...
Page 404 - Les leurs ne lisaient point, mais elles vivaient bien ; Leurs ménages étaient tout leur docte entretien ; Et leurs livres, un dé, du fil et des aiguilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles. Les femmes d'à présent sont bien loin de ces mœurs : Elles veulent écrire, et devenir auteurs...
Page 26 - Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par delà le soleil, par delà les éthers, Par delà les confins des sphères étoilées, Mon esprit, tu te meus avec agilité...
Page 421 - Moi-même , pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche , et ne me trouve plus : Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune; Je ne me souviens plus des leçons de Neptune; Mes seuls gémissements font retentir les bois, Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix.
Page 477 - La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur...
Page 443 - Enfant, vous êtes l'aube, et mon âme est la plaine Qui des plus douces fleurs embaume son haleine Quand vous la respirez ; Mon âme est la forêt dont les sombres ramures S'emplissent pour vous seul de suaves murmures Et de rayons dorés...
Page 425 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés...
Page 402 - Toute construction est par elle détruite ; Et des lois du langage on l'a cent fois instruite. MARTINE. Tout ce que vous prêchez est, je crois, bel et bon ; Mais je ne saurais, moi, parler votre jargon.