De l'assistance sociale ...Guillaumin, 1855 - 418 pages |
Expressions et termes fréquents
aban abandonnés administrateurs aliénés année asiles aujourd'hui avons Bas-Rhin besoin Bicêtre bientôt blissements budget bureaux de bienfaisance canton de Genève centimes chapitre charge chiffre cinquième concile d'Orléans clergé comptabilité compte concile de Nicée constater Cour des comptes crèche crétins d'enfants trouvés décret départements dépenses destinés diaconies diacres docteur écoles économiques élèves enfants trouvés établissements famille fants filles frais général hommes hôpi hôpitaux hospices idiots indigents infirmes infortunés inspecteur institutions jeunes aveugles jour l'administration hospitalière l'assistance à domicile l'assistance publique l'assistance sociale l'État l'hôpital l'hospice l'organisation législation lits Louis XIV maisons malades malheureux médecins médical mendicité ment mesure ministre de l'intérieur misère mônes Monthyon morale moyen nistration nombre nombreux non-seulement nourrices pension Pont-l'Abbé population premier rapport reçoivent réformes reste résultats salariés salles Salpêtrière secours à domicile serait service seul société sœurs soins sorte soulagement sourds-muets sujet surveillance taux teur tion traitement travail vail vés vices vieillards villes Watteville
Fréquemment cités
Page 264 - On est responsable non seulement du dommage que l'on cause par son propre fait, mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l'on a sous sa garde.
Page 80 - ... vertu, il faut encore faire disparaître du sol de la république la servilité des premiers besoins, l'esclavage de la misère, et cette trop hideuse inégalité parmi les hommes, qui fait que l'un a toute l'intempérance de la fortune, et l'autre toutes les angoisses du besoin. » Le despotisme avait l'ostentation et le luxe du riche qui fait l'aumône ; la république doit avoir l'abondance et l'obscurité de la nature qui répand chaque jour ses bienfaits, » Le monarque trompait la misère...
Page 255 - La société est obligée de pourvoir à la subsistance de tous ses membres , soit en leur procurant du travail , soit en assurant les moyens d'exister à ceux, qui sont hors d'état de travailler.
Page 80 - ... de renverser les hordes étrangères , de rappeler le règne de la justice et de la vertu ; il faut encore faire disparaître du s,ol de la République la servilité des premiers besoins , l'esclavage de la misère , et cette trop hideuse inégalité parmi les hommes qui fait que l'un a toute l'intempérance de la fortune, et l'autre toutes les angoisses d* besoin.
Page 338 - ... finances, aux dépenses ordinaires du département auquel l'aliéné appartient, sans préjudice du concours de la commune du domicile de l'aliéné, d'après les bases proposées par le conseil général, sur l'avis du préfet, et approuvées par le gouvernement. — Les...
Page 101 - A ces causes et autres à ce nous mouvans, de l'avis de notre Conseil, et de notre certaine science, pleine puissance et autorité royale, nous avons, par ces présentes signées de notre main, dit, déclaré, et ordonné, disons, déclarons et ordonnons, voulons et nous plaît ce qui suit : Art.
Page 63 - La salle des opérations où l'on trépane, où l'on taille,.où l'on ampute les membres, contient également et ceux que l'on opère, et ceux qui doivent être opérés, et ceux qui le sont déjà. » Les opérations se font au milieu de la salle même ; on y voit les préparatifs du supplice, on y entend les cris du supplicié ; celui qui doit l'être le lendemain a devant lui le tableau de ses souffrances futures ; et celui qui...
Page 103 - À six ans, tous les enfants seront, autant que faire se pourra, mis en pension chez des cultivateurs et des artisans. Le prix de la pension décroîtra, chaque année, jusqu'à l'âge de douze ans, époque à laquelle les enfants mâles en état de servir seront mis à la disposition du ministre de la Marine.
Page 42 - Les évêques n'avaient, pour défendre cet unique asile des faibles, que l'autorité de leur mission, de leur langage, de leurs censures ; il fallait qu'au nom seul de la foi, ils réprimassent des vainqueurs féroces ou rendissent quelque énergie à de misérables vaincus. Chaque jour ils éprouvaient l'insuffisance de ces moyens...
Page 240 - Carnot , rentrent dans la catégorie de ces institutions de charité que l'extrême misère rend indispensables, mais qu'accompagnent toujours des inconvénients moraux. Les crèches permettent à la mère de famille d'aller gagner un salaire nécessaire ; mais, en facilitant son travail hors de la maison, elles portent atteinte à la vie intérieure. Les salles d'asile elles-mêmes ne sont pas complétement exemptes de ce reproche. Il faut veiller sur ces intéressants établissements, il faut les...