Histoire du barreau de Paris depuis son origine jusqu'à 1830, Volume 2A. Durand, 1864 - 595 pages |
Table des matières
133 | |
138 | |
139 | |
154 | |
175 | |
190 | |
216 | |
246 | |
9 | |
9 | |
9 | |
9 | |
21 | |
45 | |
62 | |
76 | |
91 | |
108 | |
109 | |
110 | |
111 | |
111 | |
112 | |
113 | |
262 | |
289 | |
310 | |
317 | |
337 | |
371 | |
385 | |
403 | |
428 | |
448 | |
485 | |
511 | |
536 | |
567 | |
595 | |
Autres éditions - Tout afficher
Histoire du barreau de Paris depuis son origine jusqu'à 1830, Volume 2 Joachim Antoine Joseph Gaudry Affichage du livre entier - 1864 |
Histoire du barreau de Paris depuis son origine jusqu'à 1830, Volume 2 Joachim Antoine Joseph de Gaudry Affichage du livre entier - 1865 |
Histoire du barreau de Paris depuis son origine jusqu'à 1830, Volume 2 Joachim Antoine Joseph Gaudry Affichage du livre entier - 1864 |
Expressions et termes fréquents
10 août accusés affaire anciens Antoine Lemaistre août appelé arrêt audiences avaient avocats avril barreau bâtonnier Bellart Berryer Billecoq Bonnet C'était cats cause client Cochin condamné conférences confrères conseil conseillers consultation cour de cassation crime criminelle d'Aguesseau décembre déclaration décret défense défenseur Delamalle devant discours dit-il Dupin Dupin aîné éloquence esprit Ferey Gairal Gerbier hommes honorable janvier jeune avocat judiciaire juges juillet jurisconsultes justice l'accusé l'affaire l'an l'arrêt l'audience l'avocat général l'ordre des avocats l'un législation lettres liberté Linguet lit de justice lois Louis XIV Louis XVI magistrats malheureux mars Mauguin mémoire ment mérite ministre mort mourut nommé novembre ordonna ouvrage Palais parlement père Philippe Dupin plaida plaidoirie Pontoise premier président présenter prince procédure procès procureur général profession prononcé Prunay public refus révolution Sainneville séance sentiment septembre serait seul Sèze siècle sieur tableau talent tion tribunal tribunal révolutionnaire Tronchet trouve
Fréquemment cités
Page 357 - Citoyen président, j'ignore si la Convention donnera à Louis XVI un conseil pour le défendre, et si elle lui en laissera le choix : dans ce cas-là je désire que Louis XVI sache que s'il me choisit pour cette fonction je suis prêt à m'y dévouer. Je ne vous demande pas de faire part à la Convention de mon offre, car je suis bien éloigné de me croire un...
Page 362 - Citoyens, je vous parlerai avec la franchise d'un homme libre. Je cherche parmi vous des juges et je n'y vois que des accusateurs.
Page 363 - Ah! il gémit autant que vous sur la fatale catastrophe qui l'a fait répandre; c'est là sa plus profonde blessure ; c'est son plus affreux désespoir : il sait bien qu'il n'en est pas l'auteur, mais qu'il en a été peut-être la triste occasion ; il ne s'en consolera jamais. » Et c'est lui que vous accusez! » Français, qu'est donc devenu ce caractère national, ce caractère qui distinguait vos anciennes mœurs, ce caractère de grandeur et de loyauté?
Page 364 - Français , que la rigueur de nos usages avait privés jusqu'alors des droits qui appartiennent aux citoyens, acquissent ces droits ou les recouvrassent, il les en fit jouir par ses lois; le peuple voulut la liberté, il la lui donna ! Il vint même au-devant de lui par ses sacrifices ; et cependant c'est au nom de ce peuple qu'on demande aujourd'hui... Citoyens, je n'achève pas... Je m'arrête devant l'histoire : songez qu'elle jugera votre jugement , et que le sien sera celui des siècles.
Page 362 - Vous voulez prononcer sur le sort de Louis; et vous avez déjà émis votre vœu! Vous voulez prononcer sur le sort de Louis; et vos opinions parcourent l'Europe! Louis sera donc le seul Français pour lequel il n'existera aucune loi ni aucune forme? Il n'aura ni les droits de citoyen ni les prérogatives de roi. Il ne jouira ni de son ancienne condition ni de la nouvelle. Quelle étrange et inconcevable destinée! Mais je n'insiste pas sur ces réflexions : je les abandonne à votre conscience...
Page 541 - ... prétexte d'en dévoiler les méprises. On en- a vu qu'un sentiment exagéré de l'indépendance de leur état accoutumait par degrés à n'en respecter ni les devoirs, ni les bienséances. Mais que prouveraient ces exemples qu'on est contraint de chercher dans les derniers rangs du barreau , et faudrait-il , pour un petit nombre d'abus, abandonner ou corrompre une institution nécessaire ? — Votre majesté , qui...
Page 52 - Dans cet assujettissement presque général de toutes les conditions, un ordre aussi ancien que la magistrature, aussi noble que la vertu, aussi nécessaire que la justice...
Page 364 - Louis était monté sur le trône à vingt ans ; et à vingt ans, il donna sur le trône l'exemple des mœurs ; il n'y porta aucune faiblesse coupable, ni aucune passion corruptrice ; il y fut économe, juste, sévère ; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple. Le peuple désirait la destruction d'un impôt désastreux qui pesait sur lui, il le détruisit. Le peuple demandait l'abolition de la servitude ; il commença par l'abolir lui-même dans ses domaines. Le peuple sollicitait des réformes...
Page 364 - Entendez d'avance l'histoire qui redira à la Renommée : Louis était monté sur le trône à vingt ans; et à vingt ans, il donna sur le trône l'exemple des mœurs; il n'y porta aucune faiblesse coupable, ni aucune passion corruptrice; il y fut économe, juste, sévère; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple.
Page 383 - Convention nationale, et à leur arracher des arrêtés et des décrets sanguinaires; « En amalgamant dans le même acte d'accusation, mettant en jugement, faisant traduire à l'audience et au supplice plusieurs personnes de tout âge, de tout sexe, de tout pays, et absolument inconnues les unes aux autres ; « En requérant et ordonnant l'exécution de certaines femmes qui s'étaient dites enceintes, et dont les gens de l'art avaient...