| Pierre Brumoy - 1732 - 406 pages
...Athénes me montra mon fupetbe ennemi Je le vis, je rougis, je pâlis à là vue, Un trouble s'eleva dans mon ame éperdue, Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler, Je ienris rout mon corps, & tranfir & bruler : Je reconnus Venus, & iês feux redourables, D'un Iang qu'elle... | |
| Pierre-Louis d' Aquin de Château-Lyon - 1754 - 414 pages
...approcher de tes bords dangereux î PH E' DR E. Mon repos , mon bonheur fembloît être affermi , Alienes me montra mon fuperbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vûe , On trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Meiyeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler, Je... | |
| Académie royale des belles-lettres de La Rochelle - 1763 - 346 pages
...les loix de l'himefi je m'étois engagée ,' Mon repos, mon bonheur fembloit être affermi.; Athenes me montra mon fuperbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue. J/n trouble s'éleva çkns mon ame éperdu^ Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvoïs parler , Je fentis... | |
| Voltaire - 1765 - 442 pages
...images : alors l'auteur dit précifément les mêmes chofes que dirait la perfonne qu'il introduit. ' Je le vis• je rougis, je pâlis à fa vue; -. ,- . ,' Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue k : : . Mes yeux ne voyaient plus,- je ne pouvais parler. * ' •" X ' I -i•tt*^-»»• f '-\ •... | |
| Voltaire - 1765 - 618 pages
...images : alors l'auteur dit précifément les mêmes chofes que dirait la perfonne qu'il introduit. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue' ; Un trouble s'eleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. L'Imagination alors... | |
| Jean Racine - 1767 - 470 pages
...m'étois engagée , Mon repos , mon bonheur fèmbloit etre affèrmi» Athènes me montra mon fùperbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue....Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler; Je fèntis tout mon corps & tranfîr & brûler. Je reconnus Vénus & Ces fèux redoutables, D'un fang... | |
| 1769 - 394 pages
...images : alors l'auteur dit précifément les mêmes choies , que diroit la perfonne qu'if introduit : Je le vis ; je rougis , je pâlis à fa vue ; •Un trouble s'eleva daus mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus i je ne pouvois parler; L'imagination alors... | |
| abbé Sabatier de Castres (Antoine) - 1770 - 750 pages
...images ; alors l'Auteur dit précifément les mêmes chofes que di,n ut la perfonne qu'il introduit : Je le vis ; je rougis ; je pâlis à fa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus; je ne pouvois parler.' L'Imagination, alors ardente & fage... | |
| Voltaire - 1770 - 1154 pages
...l'équivoque ; elle a caufé bien plus de mal qu'on ne croit. Athènes me montra mon fuperbe ennemi. le le vis , je rougis , je pâlis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je fentis tout mon corps & tranfir... | |
| Voltaire - 1771 - 350 pages
...parlat de la paflîon de Phedre. Athenes me montra mon fuiierbe ennemi. Je le vis , je rougis ; je pllis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je lin iis tout mon corps & tranfir & brûler. Je reconnus Vénus... | |
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