Les marchands y abordent de toutes les parties du monde, et ses habitants sont eux-mêmes les plus fameux marchands qu'il y ait dans l'univers. Quand on entre dans cette ville, on croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple... Œuvres complètes de Rollin - Page 90de Charles Rollin - 1821Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Rollin - 1733 - 770 pages
...les étrangers , y aturoient les Marchands de toutes les parties du monde j de forte qu'on pouvoit la regarder , non pas tant comme une ville qui appartînt...particulier , que comme la ville commune de tous les peuples , & le centre de leur commerce. Quand Alexandre en approcha , les Tyriens lui envoiérent une ambaffàde... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - 724 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent d'ans la mer, et qui embrassent un... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1790 - 462 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples , et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| A. H. Boullanger - 1794 - 432 pages
...sorte qu'on pouvoit la regarder non pas comme une ville qui appartînt à un peuple particulier j mais comme la ville commune de tous les peuples et le centre de leur commerce. Quand Alexandre en approcha des députés lui apportèrent une couronqe d'or d'une extrême grandeur , de riches présens et des... | |
| Nicolas Antoine Boulanger - 1794 - 460 pages
...qu'on pouvoit la regarder non pas comme tfne' vtllë ' qui appartînt à un peuple parricnficT j mais comme la ville commune de tous les peuples et le ce'ntre de leur commerce. Quand .Alexancffe €li approcha des députés lui apportèrent une couronne d'or d'une extrême grandeur... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1800 - 412 pages
...croit d'abord que ce n'eft point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle cft la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles femblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embraffent un... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1802 - 404 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier , mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples , et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| Jean Brunel - 1808 - 506 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier , mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples , et le centre de leur commerce.' Elle a deux grands môles , semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1811 - 458 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne a un peuple particulier , ma1s qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles , semblables k deux bras , nui s'avancent dans la mer , et qui embrassent... | |
| Charles Rollin - 1817 - 656 pages
...les étrangers, y attiraient les marchands de toutes les parties du monde; <le sorte qu'on pouvoit la regarder, non pas tant comme une ville qui appartînt...de leur commerce. Quand Alexandre en approcha, les Tyricnslui envoyèrent une ambassade avec des présens pour lui, et des rafraîchissemens pour son... | |
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