Oeuvres complètes: (théâtre et poésies), Volume 1

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Garnier, 1923 - 452 pages
 

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Page 18 - Et subtracta sibi quœreret arma dolor, Nondum scitis, ait, mortem non posse negari? Credideram satis hoc vos docuisse Patrem. Dixit : et ardentes avido bibit ore favillas : I nunc, et ferrum, turba molesta, nega. TRADUCTION DU PRÉCÉDENT ÉPIGRAMME Quand Porcie entendit de son Brute le sort. Et qu'elle veit l'espée à sa douleur soustraite, Encor' ne sçavez vous (dict-elle) que la mort Ne sçauroit défrauder celuy qui la souhaitte?
Page xxxiii - Ravissement d'Heleine : mais, voyant que les acteurs ne prononçoient pas les complimens d'un ton qu'il se faut mettre en colère ; et principalement, qu'ils ne levoient pas les jambes assez haut, dans les démarches qu'ils, faisoient sur le théâtre...
Page 332 - Et tu sais que depuis, à chaque occasion, Je suis tombé pour toi dans la profusion. Toutes les dignités que tu m'as demandées, Je te les ai sur l'heure et sans peine accordées.
Page 136 - Et ne te souvient plus d'avoir faict autrefois Tant ruisseler de sang pour n'avoir point de rois, Pour n'estre point esclave, et ne porter fléchie Au service d'un seul le joug de Monarchie. Ores dessus nos corps l'un sur l'autre estendus, Comme espis en juillet quand les champs sont tondus, Tu...
Page 94 - Il faut que le procès on vuide , Et qu'on adjuge le laurier A qui mieux, d'un docte gosier A beu de l'onde Aganippide. S'il faut espelucher de...
Page 145 - Soit où l'ardent soleil sèche et brusle la terre , Les Romains on redoute ; et n'ya si grand roi Qui au cœur ne frémisse , oyant parler de moi. César est de la terre et la gloire et la crainte; César des vieux guerriers a la louange éteinte...
Page 144 - Eux-mesmes étoffez de mille diadèmes, Ne ressentez-vous point de plaisir en vos cueurs, De voir vostre César, le vaincueur des vaincueurs, Accroistre vostre empire avecques vos louanges, Par tant de gloire acquise aux nations estranges? O beau Tybre, et tes flots de grand' aise ronflans Ne doublent-ils leur crespe à tes verdureux flancs, Joyeux de ma venue?
Page 133 - Me consomme de faim, me gesne, me torture, M'abandonne aux Lions : il n'ya mort si dure Qui me bourrelle tant que de vivre et le voir Trionfant de nos maux en suprême pouvoir. S'il me veut tourmenter, me tienne ainsi chetive, 980 M'oste l'espoir de mort, et face que je vive.
Page 38 - Tu devois encor vivre, tu devois encor estre De ce chétif empire et le prince et le maistre : Vrayment je te regrette, et cuide fermement Que Brute et que Cassie ont fait injustement.
Page 298 - Qui en rare beauté surpassez l'un et l'autre. Si nous vous eussions veu quand vostre géniteur Vint en l'isle de Crète...

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