Histoire de la seconde république française, Volume 2Plon-Nourrit, 1904 |
Table des matières
2 | |
3 | |
7 | |
14 | |
15 | |
34 | |
70 | |
81 | |
306 | |
348 | |
359 | |
365 | |
400 | |
432 | |
446 | |
519 | |
91 | |
102 | |
137 | |
208 | |
222 | |
234 | |
284 | |
290 | |
298 | |
Autres éditions - Tout afficher
Histoire de la seconde république française, Volume 2 Pierre de La Gorce Affichage du livre entier - 1904 |
Expressions et termes fréquents
accueilli affaires étrangères amis Armand DE MELUN avaient avril barricades Barrot Bastide Berryer c'était cabinet catholiques Cavaignac Charles-Albert chef comité commission conseil Corcelles coup d'État débats décembre décret démagogie démocratique dépêches députés diplomate Drouyn de Lhuys Edgar Ney élections eût Falloux février française fût Gaëte garde nationale gauche général Changarnier général Oudinot gouvernement guerre hommes hostile insurgés italienne jour journaux juin Jules Favre l'armée l'Assemblée constituante l'Autriche l'Élysée l'Italie l'ordre laissait langage Ledru-Rollin Léon Faucher Lesseps lettre libéral liberté Louis Bonaparte Louis-Napoléon majorité Mazzini ment Metternich militaire ministre des affaires modérés Moniteur de 1849 Montagne Montalembert Motu proprio n'avait n'était négociations Odilon Barrot Pape parlementaire peuple Pie IX Piémont politique Pontife pontifical pouvoir président presque prince proclamation projet protesta publique Rayneval représentants républicains République romaine résistance revision révolution Rome Rossi s'était Saint-Père séance sentiment serait seulement socialistes soldats sorte surtout Thiers tion tribune troupes vote
Fréquemment cités
Page 183 - Quand on a vu combien les révolutions les plus justes entraînent de maux après elles, on comprend à peine l'audace d'avoir voulu assumer sur soi la terrible responsabilité d'un changement. Je ne me plains donc pas d'avoir expié ici, par un emprisonnement de six années, ma témérité contre les lois de ma patrie, et c'est avec bonheur que, dans les lieux mêmes où j'ai souffert, je vous propose un toast en l'honneur des hommes qui sont déterminés, malgré leurs convictions, à respecter...
Page 375 - France en 1852, c'est d'employer le temps dont je dispose de manière à ce que la transition, quelle qu'elle soit, se fasse sans agitation et sans trouble. . Le but le plus noble et le plus digne d'une âme élevée n'est point de rechercher, quand on est au pouvoir, par quels expédients on s'y perpétuera, mais de veiller sans cesse aux moyens de consolider, à l'avantage de tous, les principes d'autorité et de morale, qui défient les passions des hommes et l'instabilité des lois.
Page 373 - J'ai souvent déclaré, lorsque l'occasion s'est offerte d'exprimer publiquement ma pensée, que je considérais comme de grands coupables ceux qui, par ambition personnelle, compromettraient le peu de stabilité que nous garantit la Constitution. C'est ma conviction profonde, elle n'a jamais été ébranlée. Les ennemis seuls de la tranquillité publique ont pu dénaturer les plus simples démarches qui naissent de ma position.
Page 375 - Ce qui me préoccupe surtout, soyez-en persuadés, ce « n'est pas de savoir qui gouvernera la France en 1852; c'est «d'employer le temps dont je dispose, de manière que la « transition, quelle qu'elle soit, se fasse sans agitation et sans
Page 245 - Tout un système a triomphé au 10 décembre... Car le nom de Napoléon est à lui seul tout un programme. Il veut dire : à l'intérieur, ordre, autorité, religion, bien-être du peuple; à l'extérieur, dignité nationale.
Page 470 - Le président est chargé de veiller à la sûreté intérieure et extérieure de l'Assemblée nationale. A cet effet, il exerce au nom de l'Assemblée le droit confié au pouvoir législatif par l'article 32 de la Constitution, de fixer l'importance des forces militaires établies pour sa sûreté et d'en disposer; « Ordonne à M.... de prendre immédiatement le...
Page 350 - Dépositaire du principe fondamental de la Monarchie, je sais que cette monarchie ne répondrait pas à tous les besoins de la France, si elle n'était en harmonie avec son état social, ses mœurs, ses intérêts, et si la France n'en reconnaissait et n'en acceptait avec confiance la nécessité.
Page 500 - L'Assemblée nationale est dissoute. ART. 2. Le suffrage universel est rétabli. La loi du 31 mai est abrogée.
Page 323 - Oui, je comprends que certains hommes y regardent beaucoup avant de se priver de cet instrument; mais des amis de la vraie liberté, je dirai les vrais républicains, redoutent la multitude, la vile multitude qui a perdu toutes les républiques.