| Jean de La Fontaine - 1912 - 356 pages
...voulu rendre riches les honnêtes gens malheureux et donner de<r cognées d'or à tout le' monde ! » Où, de tout leur pouvoir, de tout leur appétit, Dormaient les deux pauvres servantes. L'une entr'ouvrait un œil, l'autre étendait un bras Et toutes deux, très-mal contentes, Disaient... | |
| E. P. Bottinelli - 1913 - 296 pages
...misérable, S'affublait d'un jupon crasseux et détestable, Allumait une lampe, et courait droit au lit Où de tout leur pouvoir, de tout leur appétit Dormaient les deux pauvres servantes. Joubert exprimait la même idée que Cournot, semble-t-il, quand il écrivait : « Bannissez des mots... | |
| Gustave Michaut - 1913 - 314 pages
...fileuses S'affublait d'un jupon crasseux et détestable. Allumait une lampe, et courait droit au lit, Où, de tout leur pouvoir, de tout leur appétit, Dormaient les deux pauvres servantes. L'une entr'ouvrait un œil, l'autre étendait un bras *.... * — Ou encore le Vent, pour contraindre... | |
| Félix François Boillot - 1926 - 428 pages
...d'autres, besoins : La liberté, les bois, suivre leur appétit Les Compagnons d'Ulysse, F. XII, 1. Où de tout leur pouvoir, de tout leur appétit Dormaient les deux pauvres servantes. ' La Vieille et les deux Servantes, F. V, 6. A ce même ordre d'idées se rattachent les exemples suivants... | |
| 1928 - 360 pages
...kifogás. Csak két helyre van megjegyzésem. Az V. k. 21. meséjében ez a két sor áll: . . . oü de tout leur pouvoir, de tout leur appétit dormaient les deux pauvres servantes. . . . hol ügyessége és étvágya teljében pihen a két szegény leányzó. Itt a pouvoir és az... | |
| Sir John Collings Squire - 1924 - 734 pages
...misérable, S'affublait d'un jupon crasseux et détestable, Allumait une lampe, et courait droit au lit, Où, de tout leur pouvoir, de tout leur appétit, Dormaient les deux pauvres servantes, L'une entr'ouvrait un œil, l'autre étendait un bras ; Et toutes deux, très malcontentes ! Disaient... | |
| Wolfgang Leiner - 1984 - 156 pages
...relâche.»103 que leur fatigue, insuffisamment compensée par un repos trop court, évoquant le lit «Où de tout leur pouvoir, de tout leur appétit Dormaient les deux pauvres Servantes. L'une entr'ouvrait un œil, l'autre étendait un bras»104. L'apologue reste unique en son genre: par... | |
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