Grecs étaient instruits à se regarder et à regarder leur famille comme partie d'un plus grand corps, qui était le corps de l'État. Les pères nourrissaient... Oeuvres - Page 11de A. H. Boullanger - 1794Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| 1900 - 868 pages
...corps de l'État. Les pèrss nourrissaient leurs enfants dans cet esprit; et les enfants apprenaient, dès le berceau, à regarder la patrie comme une mère commune, à qui ils appartenaient plus encore qu'à leurs parents. Le mot de civilité ne signifiait pas seulement parmi... | |
| Louis Dedouvres - 1903 - 476 pages
...corps de l'État. Les pères nourrissaient leurs enfants dans cet esprit, et les enfants apprenaient dès le berceau à regarder la patrie comme une mère commune à qui ils appartenaient plus encore qu'à leurs parents ». Toutefois, quelle que fût cette civilité, il est... | |
| Gustave Lanson - 1914 - 232 pages
...corps de l'État. Les pères nourrissaient leurs enfants dans cet esprit; et les enfants apprenaient dès le berceau à regarder la patrie comme une mère commune, à qui ils appartenaient plus encore qu'à leurs parents. Le mot de civilité ne signifiait pas seulement parmi... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1920 - 578 pages
...sur l'histoire universelle, III, v) : « Les enfants (che: les Grecs) apprcnoicnt dès le berceau a regarder la patrie comme une mère commune, à qui ils appartenoient plus encore qu'à leurs parents. s — Sur le sens du mot république, voir la note de la ligne 670 du livre X. enfants du... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1927 - 580 pages
...— Bossuet (Disc, sur l'hiatoire universelle, III, v) : « Les enfants (chez les Grecs) apprcnoient dès le berceau à regarder la patrie comme une mère commune, à qui ils appartcnoient plus encore qu'à leurs parents. » — Sur le sens du mot république, voir la note... | |
| Université de Strasbourg. Faculté des lettres - 1922 - 338 pages
...corps de l'Etat. Les pères nourrissaient leurs enfants dans cet esprit, et les enfants apprenaient dès le berceau à regarder la patrie comme une mère commune, à qui ils appartenaient encore plus qu'à leurs parents. Le mot de civilité ne signifiait pas seulement parmi... | |
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