...reconnue. Mais enfin, rien ne put obscurcir la gloire de Corneille, la seule chose presque qui lui restât. Le public de tous les temps et de toutes les nations , toujours juste à la longue, ne juge les grands hommes que par leurs bons ouvrages , et non par ce qu'ils ont...

...chose presque qui lui restât. Le public de tons les temps et de toutes les nations, toujours juste lo scènes (lu Cid, les admirables morceaux des Horaces, les beautés nobles et sages de Cinna, le sublime...

...reconnue. Mais enfin rien ne put obscurcir la gloire de Corneille, la seule chose presque qui lui restât. Le public de tous les temps et de toutes les nations , toujours juste à la longue , ne juge les grands hommes que par leurs bons ouvrages, et non par ce qu'ils ont...

...reconnue. Mais enfin, rien ne put obscurcir la gloire de Corneille, la seule chose presque qui lui restât. Le public de tous les temps et de toutes les nations, toujours juste à la longue , ne juge les grands hommes que par leurs bons ouvrages, et non par ce qu'ils ont...

...reconnue. Mais enfin, rien ne put obscurcir la gloire de Corneille, la seule chose presque qui lui restât. Le public de tous les temps et de toutes les nations, toujours juste à la longue, ne juge les grands hommes que par leurs bons ouvrages, et non par ce qu'ils ont...

...tous les temps, et de toutes les nations, dit encore l'oracle littéraire du dix-huitième siècle, ne juge les grands hommes que par leurs bons ouvrages,...qu'ils ont fait de médiocre ou de mauvais. Les belles scènes du Cid, les admirables morceaux des Horaces, les beautés nobles et vraies de Cinna, le sublime...

...ouvrage fous le nom d'un grand homme , n'ayant jatnais afTez de génie po'.ir l'imiter, l'jmpofture eft bientôt reconnue. Mais enfin , rien ne put obfcurcir la gloire de Corneille , la feule chofe prefqne qui lui reftât. Le public , de tous les temps , & de toutes les nations , toujours jufte à...