| Charles Rollin - 1776 - 704 pages
...forte qu'et les étoient toujours ennemies, plus encore par la contrarièté de leurs intèrêts , que par l'incompatibilité de leurs humeurs. Les villes Grecques ne vouloient la doimination ni de l'une ni de l'autre. Car , outre que chacune fouhaitoit pouvoir conferver laliberté,elles... | |
| François Sabbathier - 1777 - 570 pages
...dans le deflein qu'elles avoient d'afltijettir toute la Grèce, de forte qu'cl'es étoient toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs...intérêts , que par l'incompatibilité de leurs humeurs. 33 Les villes Grecques ne vouloient la domination ni de l'une ni de l'autre ; car , outre que chacune... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1784 - 544 pages
...dans le deflein qu'elles avoient d'aflujettir toute la Grèce ;, de forte qu'el* les étoient toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs...ni de l'une ni de l'autre : car outre que chacune fouhaitoit pouvoir conferver fa liberté , elles trouvoient l'Empire de ces deux Républiques trop... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1794 - 492 pages
...dans le deflein qu'elles avoient d'affujetlir toute la Grèce; de forte qu'elles étoienr toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs...humeurs. Les villes Grecques ne vouloient la domination de l'une ni de l'autre ; car outie que chacun fouhaitoit pouvoir conferver fa liberté, elles trouvoient... | |
| A. H. Boullanger - 1794 - 432 pages
...dans le dessein qu'elles avoient d'assujettir toute la Grcce , de sorte qu'elles étoient toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs intérêts que par l'incompatibilité de leur humeur. Les villes grecques ne vouloient la domination ni de Tune ni de l'autre ; elles trouvoient... | |
| Nicolas Antoine Boulanger - 1794 - 460 pages
...dans le dessein quelles avoient d'assujettir toute la Grèce , de sorte qu'elles étoient toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs intérêts que par l'incompatibilité de leur humeur. Les villes grecques ne vouloient la domination ni de l'une ni de l'autre ; elles trouvoient... | |
| Johann Joachim Eschenburg - 1795 - 678 pages
...dans le deffein qu'elles avoient d'aiTujélir toute la Grèce; de forte qu'elles étoient toujours ennemies , plus encore par la contrariété de leurs...Les villes Grecques ne vouloient la domination ni de Г une ni de l'autre: car outre que chacune fouhaitoit pouvoir conferver fa liberté, elles trouvoient... | |
| Johann Joachim Eschenaburg - 1795 - 682 pages
...dans le deflein qu'elles avoient d'aflujétir toute la Grèce; de forte qu'elles étoient toujours ennemies, plus encore par la contrariété de leurs...Les villes Grecques ne vouloient la domination ni dé Г une ni de l'autre: car outre que chacune fouhaitoit pouvoir conferver fa liberté, elles trou... | |
| Arrianus - 1802 - 602 pages
...dans le dessein qu'elles avaient d'assujettir toute la Grèce ; de sorte qu'elles étaient toujours ennemies, plus encore par la contrariété de leurs...l'incompatibilité de leurs humeurs. Les villes grecques ne voulaient la domination ni de l'une ni de l'autre. Car outre que chacune souhaitait de pouvoir conserver... | |
| Jacques Bénigne Bossuet (évêque) - 1803 - 288 pages
...par la contrariété de ' leurs intért-ts , que par l'incompatibilité de leurs tou- '' £ meurs. Les villes grecques ne vouloient la domination ni de l'une ni de l'autre ; car outre que chacune sonhnitoit pouvoir conserver sn liberté, elles trouvoient l'empire de ces deux républiques trop fâcheux.... | |
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