| François-Joseph-Michel Noël - 1859 - 938 pages
...nous font sentir, disait cet écrivain , toutes les passions l'une après l'autre. L'on commence p<ir les mépriser à cause de leur obscurité, on les...estime quelquefois, et l'on vit assez pour finir, ù leur égard, par la compassion. » PARTOUT, adv. de lieu. On a dit autrefois, mais mal , tout-partout.... | |
| Jean de La Bruyère - 1839 - 584 pages
...C Les PTS nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre. L'on commence par le mépris, à cause de leur obscurité. On les envie ensuite,...hait, on les craint, on les estime quelquefois, et on les respecte. L'on vit assez pour fmir à leur égard par la compassion. <J Sosie de la livrée... | |
| Blaise Pascal - 1839 - 702 pages
...Les PTS ' nous font sentir toutes les passions, l'une après l'autre. L'on commence par le mépris à cause de leur obscurité. On les envie ensuite...hait , on les craint, on les estime quelquefois, et on les respecte. L'on vit assez pour finir, à leur égard , par la compassion. Sosie de la livrée... | |
| 1843 - 584 pages
...initiales PTS » Les PTS, disait-il, nous font sentir toutes es passions l'une après l'autre : on commence par les mépriser à cause de leur obscurité...les envie ensuite, on les hait, on les craint, on !es estime quelquefois, et l'on vit assez pour Snir à leur égard par la compassion. » — Partisan,... | |
| 1847 - 782 pages
...voile usa transparent de ces trois lettres sions l'une après l'autre. L'on commence par le mépris, on les respecte. L'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion. Sosie de la livrée a... | |
| Jean de La Bruyère - 1847 - 544 pages
...passions l'une après l'autre. L'on commence par le mépris , à cause de leur obscurité. On les en vie ensuite, on les hait, on les craint, on les estime quelquefois , et on les respecte. L'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion. Sosie de la livrée a... | |
| Eugène Forcade - 1853 - 458 pages
...Les partisans nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre. L'on commence par le mépris à cause de leur obscurité, on les envie ensuite,...hait, on les craint, on les estime quelquefois et on les respecte. L'on vit assez pour fmir à leur égard par la compassion. » Cette dernière phrase... | |
| Pierre Adolphe Chéruel - 1855 - 736 pages
...avait pour eux , ne les désigne que par les trois lettres PTS : « Les P. t. ». nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre. L'on commence...assez pour finir, à leur égard , par la compassion. »» — On appelait encore pariisans ceux qui s'enrôlaient dans une troupe de gens de guerre et combattaient... | |
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