| Adolphe Chéruel - 1874 - 720 pages
...avait pour eux , ne les désigne que par les trois lotires PT S, : « Les P. (. s. nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre. L'on commence...quelquefois, et l'on vit assez pour finir, à leur égani , par la compassion. >» — On appelait encore partisans ceux qui s'enrôlaient dans une troupe... | |
| Jean de La Bruyère - 1878 - 452 pages
...Les PTS * nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre : l'on commence par le mépris, à cause de leur obscurité ; on les envie ensuite,...hait, on les craint, on les estime quelquefois, et on les respecte; l'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion. ^f Sosie, de la livrée4,... | |
| Jean de La Bruyère - 1881 - 552 pages
...Les PTS ' nous font sentir toutes les passions l'une après 'autre : l'on commence par le mépris a cause de leur 'obscurité; on les envie ensuite, on les hait, on les ciaint, on lés estime quelquefois, et on les respecte. L'on vit assez pour finir à leur égard par... | |
| Musée historique de Mulhouse - 1884 - 666 pages
...partisans nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre: l'on commence par le mépris, à cause de leur obscurité; on les envie ensuite,...hait, on les craint, on les estime quelquefois, et on les respecte; l'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion.» Macarion, paraît-il,... | |
| Etienne Allaire - 1886 - 604 pages
...nous font sentir, dit-il (1), toutes les passions l'une après l'autre : l'on commence par le mépris, à cause de leur obscurité ; on les envie ensuite, on les hait, ou les craint, on les estime quelquefois et on les respecte ; l'on vit assez pour finir à leur égard... | |
| Eugène François Lintilhac - 1893 - 216 pages
...Bruyère : « Ils nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre : l'on commence par le mépris à cause de leur obscurité ; on les envie ensuite,...hait, on les craint, on les estime quelquefois et on les respecte ; l'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion. » C'est en effet avec... | |
| Eugène François Lintilhac - 1893 - 244 pages
...Bruyère : « Ils nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre : l'on commence par le mépris à cause de leur obscurité ; on les envie ensuite,...hait, on les craint, on les estime quelquefois et on les respecte; l'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion. » C'est en effet avec... | |
| Eugène Lintilhac - 1893 - 222 pages
...Bruyère : « Ils nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre : l'on commence par le mépris à cause de leur obscurité ; on les envie ensuite,...hait, on les craint, on les estime quelquefois et on les respecte; l'on vit assez pour finir à leur égardpar la compassion. » C'est en effet avec... | |
| 1893 - 974 pages
...Bruyère : « Ils nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre : l'on commence par le mépris à cause de leur obscurité ; on les envie ensuite,...hait, on les craint, on les estime quelquefois et on les respecte ; l'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion. » C'est en effet avec... | |
| Léo Claretie - 1894 - 250 pages
...— « Les PTS nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre; on commence par le mépris à cause de leur obscurité ; on les envie ensuite ; on les hait; ou les craint; l'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion. » Dans le Nord de la France,... | |
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