... sept cent cinquante livres de rente , j'avais lieu d'espérer qu'en abandonnant le commerce et le talent de mon père, je ne perdrais rien au change, si je pouvais un jour être admis dans la troupe des comédiens du roi . « Ah , mon ami ! s'écria... Mémoires de Henri Louis Lekain - Page 5de Henri Louis Cain Lekain - 1801 - 420 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Marie Jean Antoine Nicolas Caritat de Condorcet - 1822 - 438 pages
...le maître de mes actions, et jouissant d'un petit patrimoine d'environ sept cent cinquante livres de rente , j'avais lieu d'espérer qu'en abandonnant...n'en faites jamais votre état. C'est le plus beau, le plus rare , le plus difficile des talens ; mais il est avili par des barbares et proscrit par des... | |
| Henri Louis Cain Lekain - 1825 - 534 pages
...laissant le maître de mes actions, et jouissant d'un petit patrimoine de sept cent cinquante livres de rente, j'avais lieu d'espérer qu'en abandonnant...n'en faites jamais votre état. C'est le plus beau, le plus rare et le plus difficile des talens ; mais il est avili par des barbares , et proscrit par... | |
| Voltaire - 1834 - 534 pages
...le maître de mes actions , et jouissant d'un petit patrimoine d'environ sept cent cinquante livres de rente, j'avais lieu d'espérer qu'en abandonnant...être admis dans la troupe des comédiens du roi. '1 Ah ! mon ami, s'écria M. de Voltaire, ne prenez jamais ce parti-là; croyez- moi , jouez la comédie... | |
| Ed Mennechet - 1840 - 572 pages
...ambition se bornait à être admis dans la troupe des comédiens du Roi.... — « Ah! mon ami, s'écria Voltaire, ne prenez jamais ce « parti-là. Croyez-moi...n'en faites jamais votre état. C'est le plus beau , le plus « rare et le plus difficile des talens ; mais il est avili par des « barbares et proscrit... | |
| Ed Mennechet - 1840 - 280 pages
...qu'il était décidé à abandonner l'état de son père , et que toute son ambition se bornait à être admis dans la troupe des comédiens du Roi — «Ah! mon ami, s'écria Voltaire, « ne prenez jamais ce parti-là. Croyez« moi , jouez la comédie pour votre h plaisir,... | |
| Gustave Desnoiresterres - 1869 - 1030 pages
...qu'il courût une carrière qui lui paraissait la plus belle de toutes. « Ah ! mon cher ami, s'écria Voltaire, ne prenez jamais ce parti-là ! Croyez-moi,...votre plaisir; mais n'en faites jamais votre état... Si vous voulez renoncer à votre projet, je vous prêterai dii mille francs pour commencer votre établissement,... | |
| Gustave Le Brisoys Desnoiresterres - 1871 - 502 pages
...une carrière qui lui paraissait la plus belle de toutes. « Ah ! mon cher ami, s'écria Yoltaire, ne prenez jamais ce parti-là ! Croyez-moi, jouez...votre plaisir; mais n'en faites jamais votre, état... Si vous voulez renoncer à votre projet, je vous prêterai dix mille francs pour commencer votre établissement,... | |
| 1878 - 484 pages
...laissant le maître de mes actions, et jouissant d'un petit patrimoine de sept cent cinquante livres de rente , j'avais lieu d'espérer qu'en abandonnant...père , je ne perdrais rien au change, si je pouvais UH jour être admis dans la troupe des comédiens du roi. « Ah ! mon ami , s'écria M. de Voltaire... | |
| Voltaire - 1883 - 630 pages
...le maître de mes actions, et jouissant d'un petit patrimoine d'environ sept cent cinquante livres de rente., j'avais lieu d'espérer qu'en abandonnant...n'en faites jamais votre état. C'est le plus beau, le plus rare, le plus difficile des talents ; mais il est avili par des barbares, et proscrit par des... | |
| Voltaire - 1883 - 638 pages
...laissant le maltre de mes actions, et jouissant d'un petit patrimoine d'environ sept cent cinquante livres de rente, j'avais lieu d'espérer qu'en abandonnant le commerce et le talent de mon père, je no perdrais rien au change si je pouvais un jour être admis dans la troupe des comédiens du roi.... | |
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