... sept cent cinquante livres de rente , j'avais lieu d'espérer qu'en abandonnant le commerce et le talent de mon père, je ne perdrais rien au change, si je pouvais un jour être admis dans la troupe des comédiens du roi . « Ah , mon ami ! s'écria... Mémoires de Henri Louis Lekain - Page 5de Henri Louis Cain Lekain - 1801 - 420 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean Jacques Olivier - 1907 - 636 pages
...faire admettre parmi les sociétaires du Théâtre-Français. « Ah ! mon ami, s'écria le poète, ne prenez jamais ce parti-là. Croyez-moi, jouez la...n'en faites jamais votre état. C'est le plus beau, le plus rare et le plus difficile des talons, mais il est avili par des barbares et proscrit par des... | |
| Voltaire - 1768 - 584 pages
...e.'perer qu'en abandonnant le commerce & le talent de mon père , je ne perdrais rien au change fi je pouvais un jour être admis dans la troupe, des comédiens du roi. « Ah ! mon ami, s'écria Al. de Voltaire , ne prenez jamais ce parti1k ; croyez moi , jouez la comédie pour votre plaifir ,... | |
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