| William Jillard Hort - 1822 - 346 pages
...défendrais de l'orage : Mais vous natssez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La Nature envers vous me semble bien injuste. Votre...: mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins tm'à vous redoutables. Je plie, et ne romps pas. Vous ayez, jusqu'ici, Contre leurs coups épouvantables,... | |
| Jean de La Fontaine - 1824 - 308 pages
...voisinage , Vous n'anriez pas tant à sonffrir; Je vous dcfendrois de l'orage : Les vents me sont moios qu'à vous redoutables; Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre lenrs coups épouvantables Résisté saus courber le dos; Mais attendous la fin. Comme il disoit ces... | |
| Jean de La Fontaine - 1825 - 752 pages
...défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût... | |
| Jean de La Fontaine - 1825 - 732 pages
...défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...quittez ce souci; Les vents me sont moins qu'à vous redontnbles : Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Du bout... | |
| 1825 - 434 pages
...défendrois de l'orage : Mais TOUS naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La Nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un boa naturel : mais quittee ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous redoubtables ; Je plie, et... | |
| Jean de La Fontaine - 1826 - 524 pages
...défendrois de l'orage: Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...sans courber le dos; Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût... | |
| Jean de La Fontaine - 1826 - 520 pages
...des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondît l'arbuste, Part d'un bon naturel; mais quittez ce...sans courber le dos; Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1826 - 396 pages
...nature envers vous me semble bien injuste ! Votre compassion , hii répondit l'arbuste , Part d'un boa naturel ; mais quittez ce souci: Les vents me sont...sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots ,, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord... | |
| Jean de La Fontaine - 1827 - 478 pages
...défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion , lui répondit l'arbuste , ' Avienus, fab. i6, Quercus et Arundo. — jEsop., 59, i43, Arundo et Oliva. Conférez Fabulœ JEsopicœ,... | |
| Jean de La Fontaine - 1829 - 364 pages
...défendrois de l'orage : Mais vons naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. L'i nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion...sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots, '''' Du bout de l'horizon accourt avec fin ic 'O Le plus terrible des enfants Qae... | |
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