| Montréal. Petit séminaire - 1840 - 228 pages
...principe : c'était au Chêne à comprendre ce discours. Tout ce qui suit est sec et même menaçant. Mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à...Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Le propos n'est pas long, mais il est énergique. Les acteurs n'ont plus rien à se dire ; c'est au... | |
| Henri Bernardin de Saint-Pierre - 1840 - 718 pages
...La nature envers vous me semble bien injuste ! — Votre compasión, lui répondit l'arbuste, l'art d'un bon naturel ; mais quittez ce souci : Les vents...avez jusqu'ici. Contre leurs coups épouvantables, IleMsté sans courber le dos; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mot«, Du bout de l'horizon... | |
| François Noel - 1840 - 656 pages
...ce qui suit est sec , et шОте menaçant : •aïs quittez ce souc : Les vents me sont moins qu'a vous redoutables ; Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'Ici Contre leurs coups épouvantables Bc&lsté sans courber le dos ; Ills attendons la On. 1-е propos n'est pas long, mais il est énergique.... | |
| G. H. F. de Castres de Tersac - 1843 - 408 pages
...défendrais de l'orage; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...l'arbuste, - Part d'un bon naturel: mais quittez ce souci; Le vents me sont moins qu'à vous redoutables: Je plie*, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre... | |
| E F C. Ritter - 1844 - 236 pages
...point tant à souffrir ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...redoutables ; Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Je vous défendrais de l'orage ; Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ;... | |
| Albert Etienne de Montémont - 1845 - 406 pages
...défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. —...Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci ; Les venu me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs... | |
| 1851 - 396 pages
...les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. » — Vostre compassion , lui répondit l'arbuste , Part d'un bon...Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la lin. — Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horison accourt avec furie Le plus terrible des enfans,... | |
| François Noel - 1851 - 758 pages
...principe : c'était au Chêne à comprendre ce discours. Tout ce qui suit est sec , et même menaçant : Mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à...Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Le propos n'est pas long , mais il est énergique. Les acteurs n'ont plus rien à se dire ; c'est au... | |
| 1851 - 508 pages
...les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. » — Vostre compassion , lui répondit l'arbuste , Part d'un bon...plie , et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre hnrs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fln. — Comme il disoit... | |
| Théodore Lorin - 1852 - 336 pages
...CEuv., p. 271, r». Consultez la note de feu Ch. Nodier sur cette fable de La Fontaine. PLIER , va et n. Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie et ne romps pas Liv. I, fab. 22. M. Napoléon Landais prétend que La Fontaine aurait peutêtre dû dire ployer. Il... | |
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