| A. Roche - 1853 - 720 pages
...défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords du royaume du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. —...», Résisté sans courber le dos; Mais attendons la un. » Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1856 - 488 pages
...défendrais de l'orage. Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. —...redoutables ; Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre3 leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il... | |
| Charles Augustin Henry - 1856 - 1008 pages
...principe : c'était au chêne à comprendre ce discours. Tout ce qui suit est sec , et même menaçant : Mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie ; el ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le... | |
| Antonio Bergnes de las Casas - 1857 - 504 pages
...souvent Sur les humides bords des royaumes du veut. La nature envers vous me semble bien injuste. Voire compassion , lui répondit l'arbuste, Part d'un bon...qu'à vous redoutables : Je plie et ne romps pas. Vous-avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons... | |
| Charles Bigot - 1858 - 340 pages
...défendrais de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords du royaume du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...souci , Les vents me sont moins qu'à vous redoutables , .(e plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber... | |
| Jean de La Fontaine - 1861 - 736 pages
...défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent 5ur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. —...courber le dos; Mais attendons la fin. » Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eût... | |
| Eugène Crépet - 1861 - 794 pages
...défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...leurs coups épouvantables Résisté sans courber le des ; Mais attendens la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus... | |
| Edouard Fournier - 1861 - 388 pages
...satisfait. Il raya le dernier hémistiche des deux vers, et, peut-être sur l'épreuve, il écrivit : La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, etc. Était-ce mieux? Sans doute, puisque La Fontaine en a jugé ainsi. X Cent fois, surtout depuis... | |
| Édouard Fournier - 1861 - 394 pages
...satisfait. Il raya le dernier hémistiche des deux vers, et, peut-être sur l'épreuve, il écrivit : La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, ete. Était-ce mieux? Sans doute, puisque La Fontaine en a jugé ainsi. X Cent fois, surtout depuis... | |
| 1862 - 720 pages
...sans importance numérique, » nous dirions, en empruntant le modeste langage du Roseau de la fable : Mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie et ne romps pas. Je m'appelle la liberté et non l'unité dogmatique. Je ne ferai pas un reproche à M. Rognon d'être... | |
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