| Saint Marc Girardin - 1867 - 466 pages
...bien magnifique. Le roseau ne s'y trompe pas, car il répond au chêne d'un ton sec et piqué : — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel; mais quittez ce souci. » Il ne veut pas se faire le client de l'orgueilleux qui s'offre à lui pour protecteur; il n'est... | |
| Jean de La Fontaine - 1868 - 780 pages
...défendrois de l'orage; .M; lis vous naissez le plus souvent . Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...souci; Les vents me sont, moins qu'à vous redoutables J« plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber... | |
| Alfredo Cosson - 1870 - 690 pages
...vents me sont moins qu'á vous redontablea : Je plie et ne romps pas. Vons avez jnsqu'ici, i . ... ' Contre leurs coups épouvantables, Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin." El discurso no es largo, pero es enérgico. Los actores ya no tienen nada qne decirse ; toca al poeta... | |
| Jean de La Fontaine - 1871 - 386 pages
...défendrais de l'orage : Mais vous miisse/. le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste '. Votre...compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon imturel : mais quittez ce souci" : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables, Je plia, et ne romps... | |
| Paul E. Girard - 1871 - 344 pages
...nature envers vous me semhle hien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arhuste, Part d'un hon naturel. Mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutahles : Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantahles Résisté... | |
| Jean de La Fontaine - 1872 - 530 pages
...défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...sans courber le dos; Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût... | |
| Jean de La Fontaine - 1872 - 538 pages
...talpa. Le seul Ulysse en échappa : II sut se défier de la liqueur traîtresse. XII, 1 COMPASSION : Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un...mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vou» redoutables : Je plie et ne romps pas... I, 42 COMPTE : CONDITION : CONFÉRENCE (l'Ile de la):... | |
| 1873 - 510 pages
...feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir; Je vous défendrais de l'orage. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un...épouvantables, Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.—Comme il disait ces mots ^ Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants... | |
| Louis Pujol - 1873 - 574 pages
...défendrais de l'orage. Mais vous naissez le plus souvent 16 Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. —...souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables : 20 Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans... | |
| Théodore-Henri Barrau - 1875 - 366 pages
...vu le principe : c'est au Chêne à comprendre ce discours. Tout ce qui suit eat sec et menaçant : Mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à...Résisté sans courber le dos; Mais attendons la. fin. » Le propos n'est pas long, mas il est énergique. Les acteurs n'ont plus rien à se dire : c'est... | |
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