| Augustin Pellissier - 1875 - 148 pages
...principe; c'était au Chêne à comprendre ce discours. Tout ce qui suit est sec et même menaçant : Mais quittez ce souci : « Les vents me sont moins...Résisté sans courber le dos; « Mais attendons la fin. » Le propos n'est pas long, mais il est énergique. Les acteurs n'ont plus rien à se dire ; c'est... | |
| Louis Lacombe, Jean de La Fontaine - 1877 - 396 pages
...défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plié, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résislé sans courber... | |
| Jean de La Fontaine - 1877 - 134 pages
...défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent 15 Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; 20 Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans... | |
| Jean de La Fontaine - 1877 - 302 pages
...pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l'orage ; Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; 20 Je plie, et ne romps pas. Vouz avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans... | |
| Jean de La Fontaine - 1877 - 522 pages
...déf'endrois de l'orage : 15 Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...l'arbuste, Part d'un bon naturel; mais quittez ce souci: 20 Les vents me sont moins qu'à vous redoutables; Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre... | |
| Jacques Claude Demogeot - 1878 - 584 pages
...défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. —...courber le dos; Mais attendons la fin. » Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût... | |
| Jean de La Fontaine - 1878 - 402 pages
...souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste (1). Votre compassion, lui- répondit l'arbuste, Part d'un...jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté (2) sans courber le dos ; • Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Au bout de l'horizon... | |
| J. P. Péters - 1878 - 74 pages
...— La nature envers vous me semble bien injuste." — "Votre compassion," lui repondit 1'arbuste, "part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci : — Les vents me sont moins qu'a vous redoutables ; je plie, et ne romps pas. — Vous avez jusqr1'ici centre leurs coups epouvantables... | |
| Carl Gustaf Swan - 1879 - 646 pages
...défendrais de l'orage. Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste." „...Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Eésisté sans courber le dos: Mais attendons la fin." Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon... | |
| J. de Bagnaux - 1879 - 460 pages
...8' élève sur 23 1™ classe (filles), ou 2° année. (Note : U). Analyse DEVOIR Votre compiission, lui répondit l'arbuste. Part d'un bon naturel. Mais...quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutable : Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté... | |
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