Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie, pour conserver l'État de la Grèce,... Oeuvres complètes de Rollin - Page 373de Charles Rollin - 1821Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jacques Bénigne Bossuet - 1836 - 686 pages
...s'afTectionnoient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisoicnt en commun, et que chaque particulier pouvoit parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie...de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étoient libres, plus il étoit nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1840 - 1066 pages
...plus à leur pays , qu'ils le conduisoient en commun, et que chaque particulier pouvoit parvenir aui premiers honneurs. Ce que fit la philosophie pour...de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étoient libres , plus il étoit nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs,... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1841 - 842 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier...honneurs Ce que fit la philosophie, pour conserver l'éta de la Grèce , n'est pas croyable. Plus ces peuples liaient libres , plus il était nécessaire... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1844 - 532 pages
...s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulierpouvait parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie, pour conserver l'état de la.Grèce, n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus 11 était nécessaire d'y établir... | |
| Jean-Baptiste Bordas-Demoulin - 1846 - 632 pages
...ne («) Esprit ries loi», liv. xinr, ch. tO. furent-ils pas de grands hommes et de grands citoyens? «Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la Grèce n'est pas croyable , dit Bossuet , parlant des temps antérieurs à Zénon. Plus ces peuples étaient libres , plus il... | |
| Jean-Baptiste Bordas-Demoulin - 1846 - 624 pages
...ne (1) Esprit des lois, liv. xxiv, ch. 10. furent-ils pas de grands hommes et de grands citoyens? « Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la Grèce n'est pas croyable , dit Bossuet , parlant des temps antérieurs à Zenon. Plus ces peuples étaient libres , plus il... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1847 - 870 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays , qu'ils le et hc 1 Plat, de Leg. li|>. lilT de la Grèce , n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus... | |
| Charles Rollin - 1848 - 534 pages
...car la liberté que se figuraient les Grecs était une liberté soumise à la loi, c'est-à-dire à la raison même reconnue par tout le peuple. Ils ne...croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était né1 TMsconrs sur l'histoire universelle, troisième partie, chap. 4. cessaire d'y établir par de... | |
| Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux - 1848 - 688 pages
...faisant mieux connaître ! Bordeam, lo 25 janvier 1848. PROGRES ET DIFFUSION PAR M. DUBOUL*. I. « Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la Grèce n'est pas croyable, dit Bossuet. Plus ces peuples étaient libres , plus il était nécessaire d'y établir , par de bonnes... | |
| Hélie - 1854 - 432 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier...honneurs. « Ce que fit la philosophie. pour conserver l'Etat de la Grèce, n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire... | |
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