Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie, pour conserver l'État de la Grèce,... Oeuvres complètes de Rollin - Page 373de Charles Rollin - 1821Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jacques Bénigne Bossuet - 1855 - 576 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier...était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons Jes règles des mœurs et celles de la société. Pythagore, Thales, Anaxagore, Socrale, Arcby tas... | |
| Félix Lacointa - 1859 - 542 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. (Bossuet. Discours sur l'histoire universelle. 3e partie.) Six candidats étaient inscrits : deux ont... | |
| 1865 - 1036 pages
...senti cela, et il l'a dit avec une équité supérieure. « Ce que fit la philosophie pour maintenir l'état de la Grèce n'est « pas croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il éLiil nécessaire « d'établir par de bonnes raisons les règles des mœurs et celles de a la société... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1868 - 484 pages
...s'affectionnoient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisoient en commun, et que chaque particulier pouvoit parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie...de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étoient libres, plus il étoit nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs,... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1870 - 858 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays , qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier...Ce que fit la philosophie', pour conserver l'état I fiai, de Lfg. lift. m. de la Grèce, n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres , plus... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1873 - 388 pages
...charmée de son gouvernement, et les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier...croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il 6tait nécessaire d'y établir, par de bonnes raisons, les règles des mœurs et celles de la société.... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1874 - 532 pages
...s'aflectionnoient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisoient en commun, et que chaque particulier Douvoit parvenir aux premiers honneurs.. Ce que fit la philosophie...de la Grèce, n'est pas croyable. Plus ces peuples étoient libres , plus il étoit nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs... | |
| Association pour l'encouragement des études grecques en France - 1877 - 480 pages
...leur patrie, le respect qu'ils sont obligés Je rendre à leurs princes et à leurs magistrats. » commun, et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit sa philosophie pour conserver l'état de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres,... | |
| 1877 - 512 pages
...leur patrie, le respect qu'ils sont obligés de rendre à leurs princes et à leurs magistrats. » commun, et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit sa philosophie pour conserver l'état de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres,... | |
| Edward Augustus Freeman, Edward A. Freeman - 1877 - 310 pages
...qui la charmait, était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à ce gouvernement qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. » 51 S) Et cette restriction n'a sûrement rien de contraire à la nature du régime populaire. C'est... | |
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