Grèce tirait du sien, était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la Grèce... Histoire ancienne - Page 397de Charles Rollin - 1848Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Hélie - 1854 - 432 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier...honneurs. « Ce que fit la philosophie. pour conserver l'Etat de la Grèce, n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1855 - 568 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier...croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs et celles de la société. Pythagore,... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1856 - 488 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier...croyable". Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir, par de bonnes raisons, les règles des mœurs et celles de la société".... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1857 - 394 pages
...charmée de son gouvernement, et les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier...croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir, par de bonnes raisons, les règles des mœurs et celles de la société.... | |
| Félix Lacointa - 1859 - 542 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. (Bossuet. Discours sur l'histoire universelle. 3e partie.) Six candidats étaient inscrits : deux ont... | |
| 1865 - 1036 pages
...senti cela, et il l'a dit avec une équité supérieure. « Ce que fit la philosophie pour maintenir l'état de la Grèce n'est « pas croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il éLiil nécessaire « d'établir par de bonnes raisons les règles des mœurs et celles de a la société... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1868 - 484 pages
...s'affectionnoient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisoient en commun, et que chaque particulier pouvoit parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie...de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étoient libres, plus il étoit nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs,... | |
| Claude Charles CHARAUX - 1869 - 268 pages
...leur parole, je rappellerai quelques lignes de Bossuet, bon juge assurément en pareille matière : « Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de...croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir, par de bonnes raisons , les règles des mœurs et celles de la société.... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1870 - 858 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays , qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier...Ce que fit la philosophie', pour conserver l'état I fiai, de Lfg. lift. m. de la Grèce, n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres , plus... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1873 - 388 pages
...charmée de son gouvernement, et les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier...croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il 6tait nécessaire d'y établir, par de bonnes raisons, les règles des mœurs et celles de la société.... | |
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