Grèce tirait du sien, était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la Grèce... Histoire ancienne - Page 397de Charles Rollin - 1848Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Adolphe Franck - 1881 - 538 pages
...rencontre pas ailleurs : « C'est que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays qu'ils le conduisaient en commun et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. » C'est surtout en considérant les institutions de Rome que Bossuet fait éclater son enthousiasme,... | |
| Jacques Demogeot - 1884 - 580 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier...croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs, et celles de la société. Pythagore,... | |
| Charles Huit - 1887 - 114 pages
...laquelle ses premiers citoyens employaient leur talent et leur génie. Bossuet l'a dit avec raison : « Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de...croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs et celles de la société. Pythagore,... | |
| Jacques Demogeot - 1889 - 576 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier...croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs, et celles de la société. Pythagore,... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1849 - 396 pages
...charmée de son gouvernement, et les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. Pourquoi parler des philosophes 1 les poètes mêmes, qui étaient dans les mains de tout le peuple,... | |
| 1891 - 962 pages
...Discours sur l'histoire universelle, en y parlant des philosophes et des poètes de la Grèce : « Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de...croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire -d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs et celles de la société...... | |
| Ferdinand Brunetière - 1892 - 378 pages
...I)iscours sur l'histoire universelle, en y parlant des philosophes et des poètes de la Grèce : « Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de...croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs et celles de la société...... | |
| Académie delphinale - 1892 - 812 pages
...monde asservi par ses armes. Elle 1 Bossuet. Discours sur l'Histoire universelle, Ill« paille, c. 5. a Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la Grèce n'est pas croyable » y joint, avec son génie qui, du commencement à la fin de son histoire, se développe à la manière... | |
| Amédé Rougemont - 1893 - 424 pages
...charmée de son gouvernement, et les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays 15 qu'ils le conduisaient en commun et que chaque particulier pouvait...croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir, par de bonnes raisons, 20 les règles des mœurs et celle de la société.... | |
| Gustave Lanson - 1894 - 252 pages
...Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun, et que chaque particulier...croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs et celles de la société. Pythagore,... | |
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