| Charles Rollin - 1821 - 534 pages
...pour les étrangers, y attiraient les marchands de toutes les parties du monde; de sorte qu'on pouvait la regarder, non pas tant comme une ville qui appartînt...de leur commerce. Quand Alexandre en approcha, les Tyriens lui envoyèrent une ambassade, avec des présents pour lin et des rafraîchissements pour son... | |
| Charles Rollin - 1821 - 532 pages
...les étrangers , y attiraient les marchands de toutes les parties du monde; de sorte qu'on pouvait la regarder, non pas tant comme une ville qui appartînt...de leur commerce. Quand Alexandre en approcha, les Tyriens lui envoyèrent une ambassade, avec des présents pour lui et des rafraîchissements pour son... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1821 - 426 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartient à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles37 semblables à deux bras qui s'avancent39 dans la mer, et qui embrassent... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1821 - 486 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1822 - 566 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer , et qui embrassent un... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1824 - 656 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles, semblables à deux bras ' , qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1825 - 396 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier , mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles , semblables à deux bras , qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent... | |
| Jerome N. Vlieland - 1827 - 434 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartient à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1828 - 420 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras, qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1830 - 438 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples , et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
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