| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1835 - 774 pages
...croit d'abord que ce n'esl point une ville qui appartienne à un peuple particulier , mais qu'elle esl d'ancêtres. Pour la vertu, elle sera assez excitée , Elle a deux grands môles, semblables à doux bras, qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| François Noel - 1835 - 596 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples , et le centre de leur commerce. Elle a deux ,grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| 1835 - 344 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne è. un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1837 - 428 pages
...d'abord que ce n'est point une ville 5. Qui appartienne à un peuple particulier, 6. Mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. 7. Elle a deux grands môles semblables à deux bras 8. Qui s'avancent dans la mer 9. Et qui embrassent... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles, semblables à deux bras, qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1839 - 432 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais ou'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles 27 semblables à deux bras qui s'avancent 26 dans la mer, et qui embrassent... | |
| François Noel - 1840 - 652 pages
...croit d'atrtrd que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier , mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples , et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblable* à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qoi embrassent un... | |
| Prosper Poitevin - 1843 - 532 pages
...d'abord que ce ne (être) point une ville qui [appartenir] à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples et le centre de leur commerce. (Fénelon.) § 349, 364. 26. Pourvu qu'on (savoir) la passion dominante de quelqu'un, on est assuré... | |
| Charles Rollin - 1848 - 534 pages
...patipos- ' Q. Curt. l. 4, cap. 2, 3, 4. Justin, sim ! Hœmanussuiïcceredesiderio mco. I. ll, cap. l0. une ville qui appartînt à un peuple particulier,...de leur commerce. Quand Alexandre en approcha, les Tyriens lui envoyèrent une ambassade, avec des présents pour lui et des rafraîchissements pour son... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1848 - 540 pages
...croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier , mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et ijiii embrassent un... | |
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